En Espagne, promesses sociales sur fond d'austérité

?php $cleengFullBodyContent = array ( 'price' => 0.49, 'itemType' => 'article', 'shortDescription' => 'En Espagne, promesses sociales sur fond d\'austérité', 'url' => 'https://latribune.fr/journal/edition-du-1105/economie-international/1157692/en-espagne-promesses-sociales-sur-fond-d-austerite.html', 'pageTitle' => 'En Espagne, promesses sociales sur fond d\'austérité | La Tribune', 'shortUrl' => NULL, 'contentId' => 470920038, ); $cleengPageId = "620928"; $cleengBody = "En campagne pour les élections municipales et régionales du 22 mai, les deux principaux partis espagnols, le Parti Socialiste Ouvrier Espagnol (PSOE) et le Parti Populaire (PP) affichent leur volonté de préserver l\'État providence, notamment en matière de santé et d\'éducation, dont sont en charge les régions. Cela, alors que l\'État central applique une stricte politique de rigueur.Paradoxalement, ces collectivités, qui représentent 36 % des dépenses publiques contre 21 % à l\'État central, vont devoir se montrer économes pour ramener le déficit de l\'Espagne à 6 % du PIB en 2011. « La marge de manoeuvre de l\'État central est étroite à cause des dépenses liées aux prestations comme le chômage et au paiement des intérêts de la dette. Ce sont donc les régions qui devront appliquer la rigueur », analyse Gonzalo Gómez Bengoechea, économiste à l\'IESE Business School. Dans ce contexte, « il y aura forcément des coupes au niveau des services sociaux », prévoit-il. Pour 2011, le déficit autorisé par l\'État aux communautés autonomes est de 1,3 %, et sera de 1 % en 2014. En 2010, neuf d\'entre elles n\'avaient pas respecté la limite fixée à 2,4 % du PIB. refinancer la detteMais le pari s\'avère difficile à tenir, avec la chute des revenus régionaux, liée à la crise, et la difficulté à réduire les dépenses en matière de services sociaux. Il leur faudra en outre se financer et refinancer la dette déjà émise, proche de 11 % du PIB fin 2010. Selon Moody\'s, ces besoins seront de 30 à 35 milliards d\'euros en 2011, idem en 2012. Les émissions de dette aux particuliers à taux élevés et à court terme, lancées par certaines régions, comme la Catalogne et celle de Valence, limitent le recours aux canaux traditionnels. Les régions ont en outre besoin de l\'autorisation de l\'État pour capter de la dette à plus d\'un an... Or ce dernier devient plus tatillon : en 2010, les émissions des régions sont passées de 27,2 milliards d\'euros au premier semestre à 6,8 milliards au second. En conséquence, les coupes budgétaires s\'avèrent inévitables. Gaëlle Lucas, à Madrid"; include_once($_SERVER["DOCUMENT_ROOT"]."../inc/cleeng/CleengLayer.php"); ?
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