Le ministre de l'Industrie affirme réfléchir à une montée en puissance de l'État dans Renault, pour peser sur sa stratégie. Dans une interview à l'agence Reuters, Christian Estrosi précise : « Peut-être que de monter à 17 %, 18 % ou 20 % est un moyen psychologique de faire comprendre qu'on n'a pas l'intention de laisser conduire la stratégie industrielle automobile de la France sans réagir. » L'État détient aujourd'hui 15 % du capital de la firme. La Commission européenne s'en mêle. Elle exige des explications du gouvernement sur les pressions faites depuis quelques jours pour empêcher Renault de délocaliser la production de sa Clio IV en Turquie.
L'État réfléchit à une montée dans le capital
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