Revue de presse

STRONG>L'Union : Babynov : la production débute !À Montigny-Lengrain (Aisne), l'ancien site industriel Fraîcheur d'Europe de McCain était devenu une friche industrielle récente, bien équipée, mais désertée. Elle renaît grâce à une unité de production de petits plats pour bébés et jeunes enfants implantée par la société Babynov, filiale de Materna. Après les premiers essais en juin, la production de petits plats pour le 4-36 mois vient tout juste de commencer. Pour l'heure, ce site en bordure de RN 31 entre Soissons et Compiègne, fera travailler une centaine de salariés. Materna y a investi 11 millions d'euros. Des petits bols et assiettes commercialisés sous la marque « Ça promet » ou sous des marques distributeurs y seront produits. 7.000 à 8.000 tonnes de plats appertisés devraient, dans un premier temps, sortir de l'usine.La Voix du Nord : Immochan prépare une cinquantaine de projets à l'internationalImmochan, la société d'immobilier commercial du groupe Auchan (groupe Mulliez) poursuit son développement. La société, qui a inauguré en avril dernier son 304e centre commercial dans le monde, a vu ses revenus augmenter de 4,9 % en 2009 (à 409 millions d'euros), et présente déjà plus de 80 projets, dont 50 à l'étranger (et trente en Chine) pour l'année à venir. Implantés dans 12 pays, ces 304 centres commerciaux représentent 1,7 million de mètres carrés. Le Dauphiné Libéré : Le CE d'Air France condamné dans la pollution de la ValserineLe délibéré du tribunal de Bourg-en-Bresse (Ain) sur l'affaire de la pollution de la Valserine du 16 janvier 2009 a été clair : on ne peut pas polluer en toute impunité. En condamnant le comité d'entreprise d'Air France à verser 15.000 euros aux parties civiles - notamment aux deux sociétés de pêche de la Valserine et à la Frapna -, la justice a reconnu la négligence de la structure. Les 12.000 à 14.000 litres de fioul déversés dans l'une des plus belles rivières du secteur l'ont été parce que les cuves étaient obsolètes. De lourds travaux de dépollution ont dû être menés sur les cinq mois de printemps-été 2009. L'enlèvement des boues touchées et la remise en état du lieu auront coûté de 300.000 à 400.000 euros au CE, mais pas un sou à la collectivité.
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