? Organiser son propre réseau de distribution. Même s'il est préférable de faire appel à un distributeur russe pour démarrer, l'implantation en propre est souhaitable à terme.? Éviter d'importer en petites quantités. Les formalités douanières sont chères en Russie, ce qui augmente un coût logistique déjà élevé en raison des distances à couvrir et des prix immobiliers locaux.? Conclure un contrat import avec les fournisseurs en cas de flux importants à l'importation. Il s'agit d'un document officiel obligatoire en Russie sans lequel il est impossible d'importer. Sur la base de celui-ci, sont autorisées les opérations bancaires et de change, ainsi que la demande de certificats comme « le certificat de GOST-R qui garantit la conformité des produits aux normes russes », cite Elena Gordeeva.? Recruter des compétences locales, idéalement avec une expérience anglo-saxonne ou européenne. Si les expatriés sont essentiels dans la phase initiale, ils n'ont pas forcément une vision juste des pratiques locales.? Surveiller ses stocks. En dehors des entrepôts construits par les grands prestataires européens, les sites sont souvent anciens, sans WMS (progiciels de gestion d'entrepôts), et les équipes déresponsabilisées. D'où des écarts parfois conséquents entre stocks réels et ceux mentionnés sur le papier...
comment aborder le marché russe
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