En bref

STRONG>Toujours pas d'achats d'obligations d'État de la BCE la semaine dernièreLa Banque centrale européenne (BCE) n'a acheté aucunes obligations d'État de la zone euro la semaine dernière (du 10 au 17 mars) pour la troisième fois consécutive, laissant inchangé à 77,5 milliards d'euros le montant total acquis depuis le 10 mai dernier. Alors qu'elle se prépare à resserrer sa politique monétaire, l'institution souhaiterait se voir déchargée de ce programme, décidé au plus fort de la crise pour soutenir les titres de dette des pays en difficulté budgétaire. La banque centrale et son président Jean-Claude Trichet ont notamment répété à plusieurs reprises souhaiter voir le Fonds européen de stabilité financière (FESF) ainsi que son futur successeur, le Mécanisme permanent de soutien (ESM), prendre le relais et intervenir sur le marché secondaire.Le déficit de cuivre pourrait être moins important que prévuLe ralentissement des achats chinois, les constructions nouvelles hésitantes aux États-Unis ainsi que le tremblement de terre et le tsunami qui se sont abattus sur le Japon plaident pour une moindre consommation de cuivre cette année. C'est en tout cas le point de vue de VM Group et ABN Amro, qui ont revu leur prévision de déficit en métal rouge de 463.000 à 371.000 tonnes cette année.L'Iran aurait accumulé plusieurs dizaines de tonnes d'or sous le manteauSelon de nouvelles informations du site Wikileaks relatées par le « Financial Times », l'Iran aurait acheté nettement plus d'or qu'elle ne veut bien l'admettre depuis une dizaine d'années. Le pays détiendrait plus de 300 tonnes d'or, et non pas 168,4 comme affirmé dans les dernières statistiques du FMI pour le mois de décembre. Une tendance à la diversificationn des actifs monétaires également pratiquée par la Chine, l'Inde et la Russie, souvent loin des projecteurs.Korea Exchange pourrait entrer en BourseLa place de marché de la quatrième économie asiatique, la Corée du Sud, qui détient actuellement un monopole sur les transactions de dérivés et d'actions, pourrait être introduite en Bourse. Il s'agit de la place de marché la plus importante du monde sur les dérivés, avec des montants échangés dépassant ceux du CME et de Nyse Euronext. La place de marché s'interroge aussi sur des acquisitions.
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