Scandale du cheval : trois semaines au galop à travers l'Europe

Retraits de plats cuisinés, tests ADN, résultats d\'enquêtes, promesses d\'industriels et décisions politiques... Depuis le 7 février, quasiment aucun jour ne se passe sans une annonce relative à la viande de cheval. Depuis le 7 février, et la confirmation par le groupe suédois Findus d\'analyses effectuées en Grande-Bretagne indiquant la présence de viande chevaline dans des plats préparés censés contenir du boeuf, bien des rebondissements ont alimentés le fameux scandale. Ce dernier, rappelons-le, n\'a pas eu de conséquences sanitaires. Des implications concrètesToutefois, réveillant de vieilles craintes nées avec la \"vache folle\" à la fin des années 1990 et en mettant en lumière le circuit complexe aboutissant à la vente de plats préparés, cette histoire a tout de même eu des implications concrètes. Les consommateurs affichent leur méfiance, et les distributeurs voient leur ventes s\'effondrer. Une situation qui mérite un petit retour en arrière pour tenter de comprendre comment des lasagnes ont pu enflammer l\'Europe.>> TIMELINEPour aller plus loin:Vache folle, listériose, concombre tueur... ces paniques alimentaires qui font chuter les ventesDIAPORAMA: Peur sur l\'agroalimentaire : 10 exemples qui ont fait mal à la filièreOpinion : Vendez-nous des lasagnes en circuits courts !Opinion : \"Je ne crois pas à de vastes trafics parallèles de viande en Europe\" 
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