STRONG>UBS voit à nouveau les fonds affluerLa banque a attiré 22,3 milliards de francs suisses (17,4 milliards d'euros) d'argent frais au premier trimestre, contre 7,1 milliards au trimestre précédent, ce qui confirme « le retour de la confiance des clients », selon son directeur général Oswald J. Gruebel. Dans la division gestion de fortunes Amériques, les afflux ont atteint 3,6 milliards de francs après 3,4 milliards et 11,1 milliards dans la gestion de patrimoines après des rentrées minimes au quatrième trimestre 2010. Dans la gestion d'actifs, les afflux ont atteint 5,6 milliards de francs contre un milliard trois mois plus tôt.Assurance-vie : la collecte en baisse pour le quatrième mois consécutif37,3 milliards d'euros ont été collectés sur les contrats d'assurance-vie au premier trimestre, soit 13 % de moins qu'en 2010. Les versements sur les supports euros ont fortement diminué (-16 %), tandis que les supports UC ont enregistré une légère progression (+3 %). Le montant des prestations versées ayant augmenté, la collecte nette, à 10,7 milliards d'euros, a accusé une très forte baisse (-45 %) par rapport à fin mars 2010.Affacturage : un cinquième trimestre de hausse supérieure à 15 %L'activité s'accélère à nouveau pour les sociétés d'affacturage : à 40,5 milliards d'euros, le montant des créances prises en charge au premier trimestre a augmenté de 19,2 % par rapport à la même période de l'année dernière.La Grameen Bank a « bafoué les règles », selon une enquête du BangladeshL'enquête sur la banque de Muhammad Yunus blanchit l'établissement de l'accusation d'avoir détourné une aide norvégienne et de pratiquer des taux d'intérêt excessifs. Mais elle révèle une « large tendance à bafouer les lois et réglementations dans la gestion de la banque ». Muhammad Yunus est accusé d'avoir transformé sa banque en un « énorme conglomérat », au mépris de ses propres règles.Les moyens de la Berd augmententDécidée l'an dernier par ses actionnaires, l'augmentation de 20 à 30 milliards d'euros des fonds propres de la Berd, est devenue effective. Cette rallonge doit permettre à la banque de maintenir ses investissements entre 8 et 9 milliards d'euros par an jusqu'en 2015, soit bien au-dessus des niveaux d'avant la crise.
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