L'économie américaine a crû au premier trimestre à un rythme légèrement inférieur à ce qui avait été précédemment annoncé, sous le coup du ralentissement des investissements des entreprises et de la baisse sans précédent depuis 1981 des dépenses publiques. Le PIB a progressé de 3,0 % en rythme annualisé sur les trois premiers mois de l'année. Les dépenses des ménages, qui sont le principal moteur de la croissance américaine, ont bien résisté, en progressant de 3,5 %. La consommation, qui représente plus des deux tiers de l'activité économique du pays, a ainsi contribué à hauteur de 2,42 points de pourcentage au PIB du trimestre dernier, soit sa plus forte contribution depuis le premier trimestre 2007. (agences)

latribune.fr

27 Mai 2010, 23:22

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