Ces risques qui planent encore sur la planète financière

Qui l'eût dit ? Assurément pas les conjoncturistes les plus renommés, pas plus que les analystes chevronnés. La défaillance de Dubaï annoncée jeudi en a effectivement désarçonné plus d'un. Et pourtant, les sujets de préoccupation après la bulle des subprimes et les investissements hasardeux des grandes banques mondiales ne manquent pas. Mais manifestement, ils n'avaient pas identifié cette zone géographique comme un gisement dangereux. D'où la réaction épidermique, jeudi, des investisseurs qui détestent, par-dessus tout, être surpris. Hier d'ailleurs, ces mêmes investisseurs, après analyse de la situation, ont quelque peu retrouvé leur sang-froid, permettant aux places européennes de reprendre quelques couleurs. Il n'empêche. La crise est loin d'être finie et il existe encore bel et bien des zones ou des sujets de préoccupation susceptibles de déstabiliser voire d'affoler les marchés. Comme certains risques pays, la possible défaillance de collectivités territoriales, les expositions dangereuses de certains établissements bancaires ou le succès excessif de certains secteurs d'activité.
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