Exposition limitée pour Les banques françaises,

Rien à signaler, ou presque. L'ensemble des banques françaises ont communiqué leur exposition à l'économie dubaïote et au conglomérat Dubai World. La Société Généralecute; Générale et Dexia estiment que leur risque est « limit頻. BNP Paribas dit « ne pas être exposé à la bulle immobilière » à Dubaï et ne communique jamais sur ses expositions. Natixis précise de son côté qu'elle détient 50 millions de dollars de dettes visées par le moratoire demandé par le conglomérat. La banque avait jusqu'il y a quelques mois des activités de marché de capitaux dans les produits de crédit structurés. En revanche, Calyon, la banque de financement et d'investissement du Crédit Agricolegricole, détient une exposition d'un peu moins de 300 millions d'euros à la dette d'État de Dubaï, donc potentiellement peu risquée. Mais elle n'a aucun risque lié à l'immobilier local et notamment à Dubai World et sa filiale immobilière Nakheel. De son côté, l'assureur crédit Euler Hermes, filiale de l'assureur allemand Allianz a qualifié son exposition de « modeste » et non concernée par les difficultés de Nakheel. Son concurrent Coface déclare, quant à lui, que ses « encours de risques sur Dubaï sont très faibles ». M. P.
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