Zapatero en perte de crédibilité

Après l'annonce d'un taux de chômage qui dépasse les 20 %, le gouvernement espagnol a reçu un coup de massue avec la dégradation de la note de sa dette souveraine, justifiée par Standard & Poors par une croissance faible, en moyenne de 0,7 % par an entre 2010 et 2016. Pour nombre d'analystes, l'exécutif n'a pas encore mesuré l'ampleur de la crise. Le patron de la banque Santander a plaidé en faveur de mesures urgentes. Pourtant la réforme du marché du travail sera bouclée d'ici cinq semaines, et l'administration centrale va être restructurée. Mais il semble que cela ne suffise pas. G. L., à Madrid
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