
Jörg Asmussen, membre du directoire de la BCE, veut aller vite. Il souhaiteque les Européens se prononce rapidement sur la proposition de Commission européenne concernant le mécanisme de faillite ordonnée pour les banques a-t-il plaidé vendredi au terme d'une réunion des ministres des Finances de l'Union européenne à Dublin, en insistant sur la nécessité d'établir des règles du jeu claires.
Mise en place en 2015
Depuis la mise en oeuvre du plan d'aide pour Chypre, qui met pour la première fois à contribution certains déposants, la proposition de Bruxelles est sur le devant de la scène. Dans le cas chypriote, la solution retenue a été celle d'un mécanisme de renflouement interne des banques en difficulté (« bail-in »), par opposition à un sauvetage où ce sont les Etats, donc les contribuables, qui sont sollicités (« bail-out »).
Le « bail-in » en soi n'est pas un problème mais nous devons définir les règles du jeu », c'est-à-dire décider qui sera mis à contribution et surtout dans quel ordre, a affirmé Jörg Asmussen. La proposition du commissaire européen Michel Barnier (Services financiers) prévoit que les actionnaires soient d'abord mis à contribution, puis les créanciers et les déposants au-dessus de 100.000 euros "si cela est nécessaire", puis le fonds de résolution que chaque Etat membre doit mettre en place. Côté calendrier, Jörg Asmussen souhaite un mécanisme en place en 2015 et non en 2018, date envisagée jusqu'ici.
Il faut donc que nous Français, soyons masos ou complètement neuneu pour ne pas sortir de l'euro à vitesse grand V et attendre je ne sais quel miracle...!!
En effet, il est hors de question que je laisse des incapables se servir sur mon compte pour se dédouaner de leurs erreurs.
Le peu que j'ai pu mettre de côté avec mon épouse en travaillant depuis + de 30 ans est ma propriété.
Je n'ai volé personne et ai toujours payé mon dû à qui de droit.
Je n'ai aucun crédit et ne doit rien à personne.
Ces Messieurs veulent de l'optimisation fiscale et bien nous allons leur en donner.
La seule question que l'on peut se poser est de savoir jusqu'au il faudra aller pour faire réagir les Français ???!
En fait, pour la première fois, on va devoir se demander : dans quelle banque je veux vraiment être. Quelle est la santé financière de ma banque ? Va-t-elle faire la folle sur les marchés ? Bref, ça a du bon de responsabiliser tout le monde... De pas toujours avoir papa-Etat derrière...
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