
Le parti anti-euro allemand est officiellement lancé. Le congrès fondateur de la nouvelle formation, appelée « Alternative für Deutschland » (Alternative pour l?Allemagne, AfD), s?est tenu ce dimanche à Berlin, regroupant près de 1.500 membres. En tout, le parti regrouperait près de 7.000 membres depuis l?annonce de sa création voici quelques semaines.
Un but : sortir de l?euro
Mené par l?économiste Bernd Lucke, désormais officiellement « porte-parole », mais aussi par l?ancien journaliste du quotidien conservateur FAZ Konrad Adam ou l?ancien « patron des patrons » Hans-Olaf Henkel, le parti réclame la fin progressive de l?euro. Dans son programme, AfD entend imposer une sortie de l?Allemagne de la zone euro si une nouvelle participation financière de l?Allemagne au « sauvetage de la zone euro » était demandée. Les participants au congrès ont tenté, dans l?immédiat, de rejeter toute accusation de lien avec le populisme et l?extrême-droite. « Nous devons regarder l?accusation de populisme comme une récompense », a cependant affirmé Konrad Adam en justifiant : « la démocratie est une organisation populiste, car c?est le peuple qui a le dernier mot. »
Un nouvel acteur décisif lors du scrutin de septembre
AfD pourrait bien, s?il parvient à présenter des candidats lors des élections fédérales du 22 septembre prochain, bousculer les lignes. Selon plusieurs sondages, près d?un quart des Allemands pourraient voter pour lui, ce qui en ferait le deuxième ou le troisième parti du pays. Un récent sondage a cependant indiqué que 7 % des Allemands voulaient fermement voter pour lui, ce qui lui permettrait d?entrer au Bundestag et de jouer un rôle non négligeable dans cette enceinte décisive pour le règlement de la crise européenne. A priori, il prendrait des électeurs à tous les partis traditionnels.
Profiter de la frustration face à l?euro
Une présence importante d?AfD au Bundestag n?est pas à exclure tant une partie de l?électorat allemand est volatile et a pu voter libéral, pirate ou vert durant les dernières années. AfD peut également profiter du sentiment de frustration vis-à-vis de l?euro de certains Allemands convaincus de « payer pour les fautes des autres. » Cependant, Angela Merkel semble avoir réconcilié une partie du pays avec l?euro comme le montre un récent sondage où 69 % des Allemands disaient vouloir conserver l?euro, ce qui représentait un record.
Alors à quand La Tribune?
En effet l'UPR présidée par François Asselineau explique depuis 2007 pourquoi il faut sortir de l'Union Européenne, de l'euro et de l'OTAN. Ce que ne font aucunement les autres partis sur tout l'échiquier politique, quoi qu'en dise les rumeurs.
J'invite les internautes et les journalistes à lire notre charte, étudier nos analyses, explorer notre site, éplucher notre programme politique.
La construction européenne est une idée, et comme toute idée; on a le droit d'en débattre. A moins que ce ne soit un dogme.
Et il y a des naïfs pour croire que sortir de l'Euro résoudrait nos problèmes ..................
Que la dette et non les intérêts revienne à l'ordre du jour ex: je rembourse 50Mds? de dette,je crois que les investisseurs ne seraient pas contre,sinon c'est l'haircut à la clé,le défaut c'est grossier comme méthode,tout le monde en conviendra.
Après on dévalue gentiment,tous les pays concernés font de même et l'Allemagne et consorts sont dans la mouise car ils se retrouvent face a des pays ayant des couts compétitifs.
Moi je ne sais plus,on n'sait plus,on n'sait plus.
Ce journal La Tribune appartient-elle au groupe de presse allemand BERTELSMANN ?
Sinon, à qui appartient-il ?
Merci de vos réponses avec réferences, en avance.
Le commerce international est un poumon de l'économie française. Sortir de l'OMC serait de le lui enlever.
Et dans le commerce international, la France est coincée par la monnaie commune euro et la devise-pivot usdollar.
La stratégie est celle de l'UPR qui est citée par ses sympathisants dans le présent blog.
alors quoi faire?sortir de l'euro,l'otan,la ue,l'oecd,l'omc,etc.etc. pour aller ou? avec la Corée
du Nord,le Maghreb,l'Afrique,etc.?Pour faire quoi?Jouer les 1.ers de la classe (par fautes de concurrence.
C'est le reve des déstabilisés qui ont l'angoisse de la compétition,qui aiment travailler
35 heures,aller au bistro pour le pastis de midi et les conneries du soir.Parler du PSG à capital qatari,etc.etc.
Au moins les allemandes ont le courage et la force de se mesurer jour par jour avec les
plus forts; chinois,japonais,américains,coréens,etc.etc.
Nous avons les yeux toujours tournés vers l'Afrique parceque l'Europe nous fait peur.
C"est un signe de faiblesse et manque de courage.
Ce matin je suis pret à récolter tous les insultes possibles.Une chose est sure,nous nous
allons plier devant l'Europe (Allemagne)......Volens nolens
Tout le monde y a trouvé son compte d'y participer.Moi j'ai pas vu personne,sous la contrainte
d'un fusil ou pistolet,signer les traités.Alors de quoi on parle ?
Sortir de l'euro sans sortir de l'UE est impossible (pas prévu dans les traités).
Je m'étonne que les fondateurs de ce parti (un économiste, un journaliste et l'ancien patron des patrons allemands) n'en soient pas informés.
Ils s'affranchissent de liens populistes ou d'extrême-droite mais "regardent l'accusation de populisme comme une récompense".
Décidément, les recettes sont toujours les mêmes, accoler à des partis extrémistes des velléités anti Europe pour surtout éviter tout débat raisonné sur le sujet.
La réélection de Mme Merkel sera peut-être assurée par ce nouveau parti qui va servir d'épouvantail.
J'attends avec impatience un article de La Tribune sur l'UPR, l'Union Populaire Républicaine, qui propose une sortie raisonnée et conforme aux traités de l'UE, de l'euro et de l'Otan.
Je m'étonne que La Tribune n'ait pas cru bon d'informer ses lecteurs de l'existence de ce parti et de la candidature aux élections présidentielles de 2012 de son président, François Asselineau alors qu'elle juge aujourd'hui important de nous parler de ce nouveau parti allemand.
Je ne suis pas en mesure de juger si l ídee de fonder ce nouveau parti est bonne ou non mais je comprends tout a fait pourquoi beaucoup d´électeurs voteront pour eux.
Les conférences de François Asselineau président de l'UPR, sur u-p-r.fr , vous expose POURQUOI et avec les textes du Traité de l'Union-Européenne [TUE], et les textes du Traité du fonctionnement de l'Union-Européenne [TFUE].
Il n'y aura qu'à les appliquer.
L'UPR est le seul parti à proposer son programme intitulé << Programme de libération nationale pour rétablir la démocratie >> qu'on peut télécharger gratuitement.
<< Sortir de l'euro >> seulement est illusoire.
Je redis: UE/euro/OTAN sont strictement liés.
A tort ou à raison , je prévois un succès de ce nouveau parti AfD aux prochaines élections. Je dis cela parce que c´et ce que je ressens de plus en plus de tous les cotés dans mon entourage. Et mon entourage ce ne sont pas ni des illéttrés ni des smicards, bien au contraire ! .
en envisageant une sortie de l'euro et de l'UE.
Comme si le monde n'avait pas vécu avant l'UE.
Il suffit d'adopter un esprit scientifique et objectif, et de regarder les résultats de cette prétendue construction européenne.
Faire un "avant/après 50 ans".
Ca devient schizophrénique de devoir faire semblant que l'Europe ds traités nous mène sur le bon chemin.
On s'enfonce toujours plus, mais on doit dire, et continuer à croire qu'on fait le bon choix.
La dignité du débat politique, de la politique tout court, c'est aussi de reconnaître ses erreurs et de redéfinir un chemin d'évolution.
Et l'UPR, c'est l'évolution, l'indépendance retrouvée d'un grand pays (la France est un grand pays international).
Sauvons la France, celle que l'UPR peut nous offrir.
Oui. Même si cette possibilité n?est pas prévue par les traités européens, le droit international et la Convention de Vienne prévoient que tout pays peut dénoncer un traité ou une partie d?un traité. Juridiquement, la France peut donc faire le choix de quitter la zone euro.
Par ailleurs DLR ne propose pas de sortir de l'UE et même pas de sortir de l'Euro. DLR, par l'intermédiaire encore du jeune homme sus cité, nous explique qu'il faudrait sortir de l'Euro (qu'ils appellent toujours monnaie unique ces incompétents) pour refaire une monnaie commune (ce que l'Euro est déjà, il faudra le leur dire hein) avec 12, 6 ou moins encore de pays... Ils ne savent même pas ce qu'ils veulent eux-mêmes...! Comment faire confiance à ces gens là !? Ils n'ont rien compris et sont malhonnêtes ou incompétents, au choix. Cdt
Mais avant de porter un jugement sur le fond, nous pourrions peut-être nous interroger sur le financement de ce nouveau parti.
Il me semble qu'il dispose de moyens importants qui ne sont pas à la portée de la première association venue.
D'autre part, l'Histoire nous a montré que bien souvent des partis d'opposition factices étaient créés de toute pièce par le système en place afin de récupérer - in fine - les voix des populations mécontentes.
Conclusion, il me semble urgent d'attendre d'en savoir plus sur cette "éclosion spontanée" avant de se faire une réelle opinion.
Vous évoquez 2002, mais il suffit de voir sa profession de foi des élections présidentielles de l?année dernière, en pleine crise politique et économique, pour le comprendre. Pas un mot sur l'euro ou l'UE sur le document envoyé aux 46 millions d'électeurs..à voir ici les coulisses : http://www.youtube.com/watch?v=3zMEmwpWxP0
D'ailleurs, en matière économique, il suffit de gratter un peu pour se rendre compte qu'elle n'a aucune connaissance approfondie sur le sujet. Elle sert très bien le système car il suffit de vouloir redonner à la France son indépendance pour évoquer tout de suite le FN, conne vous le faites.
Pour appuyez vos dires, merci de fournir un lien vers la page dont vous parlez sur le site du front national. Se serait la moindre des courtoisies pour les lecteurs qui lisent ces commentaires...
Par contre, l'UPR est parfaitement clair sur ses intentions : OUI, ON SORT DE L'EURO, DE L'UE ET DE L'OTAN
expliquez-moi pourquoi Obama s'est empressé de taper sur les doigts de Cameron pour le forcer à ne par faire de référendum sur la sortie de la GB de l'UE ? Pourquoi les USA n'ont de cesse que de promouvoir sans cesse l'entrée de nouveaux pays dans l'UE ?
Il s'appelle l'Union Populaire Républicaine (UPR) et son président fondateur - François ASSELINEAU - est inspecteur général des finances, il fut délégué à l'intelligence économique et fut mit sur la touche lorsque il fit un rapport sur l'état de l'euro en 2004, il préconisait déjà la sortie de la France de l'Euro...
N ont rien vu en 2008 alors leurs analyse n est pas plus fiable que votre maniÚre de pensee
Allons y !
"les nouveaux D M étaient imprimés" ? Je n'ai pas vu de démentis ? Qui croire ? En étant
maître de leur monnaie ils pourraient la diminuer la valeur et de ce fait faciliter leurs
exportations. L'Euro c'était bien on pouvait voir le prix de "tel article" mais nous sommes
trop nombreux, d'autant plus qu'il y a eu des pays "tricheurs"
Je n'ai absolument pas les mêmes idées pour le pays que l'actuelle majorité, mais vu la manière dont sont traités et discutés l'ensemble des politiques de ce pays, les hommes qui ont construits la 5ème république seraient bien déçus...
et plus encore.......Les anti-europééns,allemands,italiens,français,espagnols,etc.etc.y compris
votre commentaire c'est " la chien lits "
Il y a dans mon commentaire surtout le "VITE" beaucoup de second degré...
Quand un pays a un énorme déficit commercial il doit dévaluer, l'Euro nous empêche toute dévaluation externe, il ne nous reste donc pour redevenir compétitif que la dévaluation interne, le pacte de compétitivité de 20 milliards c'est encore de la compétitivité à crédit. La dévaluation interne c'est comme en Grèce, une baisse des salaires et des pensions avec des prix, des loyers, des remboursement d'emprunts qui eux ne baissent pas. Dans une dévaluation externe (si on avait le Franc) rien ne bouge sauf le prix des produits importés qui, de facto, sont moins achetés, ce qui rééquilibre un peu la balance commerciale pour un temps. Je ne suis pas anti-européen, mais on ne peut que constater que les produits Allemands ne sont pas au prix où ils devraient être dans une économie de marché normale.