
Les Français sont de moins en moins intéressés par la question des bonnes pratiques environnementales. C'est du moins ce qu'indique une étude menée par GreenFlex, société de services en développement durable, en partenariat avec l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), estimant que "l'environnement motive moins". Ces résultats tombent dans un contexte qui aurait pu laisser supposer un effet exactement contraire: en effet, la France va accueillir et présider la 21e Conférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques de 2015 (appelée COP21*) qui se tiendra du 30 novembre au 11 décembre à Paris.
L'événement ne semble pas stimuler la fibre écologique des Français, ce serait même l'inverse: ainsi le nombre de ceux qui se disent "désengagés face aux problématiques écologiques" grimpe à 23,7% alors qu'ils n'étaient que 15% dans l'étude menée en 2014... Avec notamment un fort "recentrage sur soi", d'après l'étude.
Plus du défaitisme que du désintérêt ?
Ainsi, ils sont 33,8% à penser que cela ne sert à rien d'agir pour l'environnement si les autres ne le font pas, contre 29% en 2014.
En outre, ils sont 19% à penser qu'"agir pour l'environnement n'en vaut la peine que si cela leur fait gagner de l'argent". En 2014, seules 14,4% des personnes interrogées étaient de cet avis.
Quand la pratique du tri sélectif révèle un repli sur soi
En ce qui concerne la pratique des gestes écologiques, de moins en moins de personnes sont prêtes à faire des sacrifices dans leur vie quotidienne pour aider à la protection de l'environnement (41,2%, contre 44,5% et 56,9% en 2010).
Dans le détail, la baisse est marquée, notamment dans le tri sélectif: ainsi, 64% des personnes interrogées assurent trier et recycler des déchets, contre 68,7% en 2010. Pis, 53,2% assurent limiter leur usage de sacs plastiques quand ils étaient 63% en 2010.
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[L'étude a été réalisée auprès de 3.500 personnes âgées de 15 ans à 74 ans.]
(*) COP21 Paris 2015 ("COP" pour "Conference Of the Parties", c'est-à-dire, Conférence des Etats signataires; et "21" parce que c'est la 21e édition)
L'écologie est un fléau pour l'homme. Une politique qui vise à répandre la pauvreté du sud, dans le monde entier. Ceci afin d'atteindre l'un de leurs buts principaux : "la Décroissance".
La Nature est plus importante que l'homme selon leur doctrine. Leur fameuse "Conférence sur le Climat" prévue en décembre, va nous coûter la bagatelle de 170 millions d'euros ! Tout cela pour satisfaire les quelques 2 à 3% d'électeurs qu'ils représentent ? De qui se moque-t-on ?
Ne se passerait-on pas bien de cette réunion de super friqués, qui viendront encore s'engraisser sur le dos des contribuables français ?
Qu'on puisse se mobiliser pour défendre des espèces en voie de disparition est parfaitement légitime. Qu'on privilégie des espèces fortement répandues et nuisibles aux humains, ne l'est en AUCUNE FAÇON !
Un gamin de 13 ans est mort à la Réunion, dans d'atroces souffrances le 12 avril dernier, déchiqueté par un requin bouledogue. Espèce qui comme le requin tigre, est bien loin d'être en voie d'extinction. Mais qui donc avait exigé que soit créée une "Réserve Naturelle" sur cette île minuscule qu'est la Réunion (Territoire français d'outremer) ? Les écologistes bien-sûr !
Cette réserve attire les requins du grand large vers les côtes, d'où ils étaient absents auparavant. C'est donc bien, entre autres, une mesure irresponsable de la part des Verts.
Depuis l'attaque précédente, et la mort d'une jeune femme de 20 ans le 14 février 2015, un Arrêté avait été mis en place. Arrêté qui prévoyait la mise en place de zones expérimentales limitées, situées à Saint-Paul, Trois-Bassins et Saint-Leu (Littoral Ouest), où les jeunes surfeurs et entraîneurs du Pôle Espoir de la Ligue de Surf Réunionnaise, (auquel appartenait le jeune garçon, par ailleurs grand espoir pour le surf français), pourraient pratiquer leur sport. Le Spot des Aigrettes où s’est déroulée l’attaque qui a coûté la vie de l’enfant, dépend justement de la commune de Saint-Paul. Se seraient-ils donc crus, lui comme ses amis, doublement protégés en venant surfer à cet endroit où les panneaux « Baignade Interdite » étaient encore présents ce jour-là ? Le jeune garçon (très prudent selon ses proches), n'avait pas surfé sur l'île depuis près de 18 mois, sur l'interdiction formelle de ses parents. Il a sans doute cru en toute bonne foi (et avec l'insouciance liée à son âge), être protégé en venant pratiquer son sport favori avec ses amis, près d'une plage où des bateaux motorisés étant visibles. Les jeunes pensaient sans doute que leur présence était due à cet Arrêté de février 2015.
Les vagues étaient de taille moyenne, mais surtout l’eau était claire selon les témoins, ce que n’apprécient pas du tout les requins, (souvent décrits comme méfiants). De plus, les attaques ont plutôt lieu en fin d’après-midi ou le soir. Pas le matin comme ce fût le cas, peu avant 9H ce 12 avril. En réalité, les bateaux n’étaient présents que pour relever les balises sensées détecter la présence des squales. C’est d’ailleurs de l’une de ces embarcations, que le corps massacré du jeune surfeur a pu être repêché. Le père de l’enfant, (rentrant en urgence de métropole), a déposé plainte contre X, après avoir vu le corps déchiqueté de son fils : bras droit, jambe droite et partie importante de l’abdomen, arrachés par un requin bouledogue.
La limitation de la pêche aux requins, était due pour partie, à la volonté des écologistes qui n’hésitent pas à mettre en valeur la vie des requins par rapport à celles de leurs victimes. Ils veulent à tous prix nous faire croire que ces prédateurs sont inoffensifs pour l’homme. Que les requins sont chez eux dans l’océan, pas les humains. La multiplication de ces dangereux prédateurs que sont les « requins bouledogues et tigres », est également due à la présence d’une bactérie, qui a causée l’interdiction de la vente de viande de requins, dans les poissonneries de l’île. Du fait, une espèce réellement inoffensive a disparu du littoral, le requin des récifs. Ils régulaient auparavant la population des espèces « Tigres et bouledogues » en mettant les jeunes à leur menu.
Les requins sont-ils chez eux dans le Zambèze en Afrique ? Ce fleuve où sont dénombrées chaque année plusieurs mutilations, quand il ne s’agit pas de décès ? Les requins bouledogues sont en effet les seuls à être capables d’évoluer en eau douce, parmi les 350 espèces répertoriées.
Sont-ils aussi "chez eux" dans le Mississippi aux USA, où ils sont régulièrement observés, étant capables de remonter des fleuves jusqu’à 3.000 km de l’océan ? Si d’aventure un écologiste, tellement attaché à ces « merveilles de la Nature », venait à être mis en pièces chez nous en France, dans l’une de nos rivières… ? Les Verts oseraient-ils continuer à nous raconter leurs inepties ? L’écologie est un danger pour l’homme. La vie humaine étant considérée par ces « amoureux de la Nature », comme une Pollution par essence. Il est donc parfaitement NATUREL que les français en général, et les électeurs en particulier, se désintéressent de cette prétendue cause importante. N’en déplaisent à François Hollande et à sa coûteuse conférence, pour lesquels un nombre croissant de français, montrent leur profond désintérêt qui Lui, est parfaitement justifié.
Yorg.
En triant systématiquement bouteilles, bidons et flacons en plastique, je fais un geste concret pour l'environnement car ces déchets seront recyclés (fibres polaire, rembourrage de couette, pot à semis, poubelles, nouvelles bouteilles...). Et je participe également aux efforts de maîtrise des coûts de ma collectivité.
Si je trie une bouteille d'1,5 litre, le gain pour ma collectivité est de 2 centimes.
Si je la jette avec les ordures ménagères, son coût de traitement sera plus cher et elle ne sera pas recyclée.
décidément tout va mal dans ce pays.
On pourrait parler également du nucléaire, de la surutilisation des pesticides, et bientôt des OGM... Bref qu'on arrête d'emm.... les Français avec l'"écologie" pour encore le racketter un peu plus au nom de la "bonne cause".