Brexit : Londres met la pression sur Bruxelles

Perturbations douanières, aide humanitaire, hausse des frais bancaires... Le gouvernement de Theresa May a publié, ce 23 août, une série de notes techniques listant les risques auxquels s'exposeraient les Britanniques en cas d'absence d'accord avec l'Union européenne.
Le gouvernement britannique a publié ce 23 août les 25 premières notes techniques, sur un total d'environ 80 prévues d'ici fin septembre, indiquant la marche à suivre en cas d'absence d'accord avec l'UE pour organiser leur divorce, programmé le 29 mars 2019.
Le gouvernement britannique a publié ce 23 août les 25 premières notes techniques, sur un total d'environ 80 prévues d'ici fin septembre, indiquant la marche à suivre en cas d'absence d'accord avec l'UE pour organiser leur divorce, programmé le 29 mars 2019. (Crédits : Toby Melville)

Le gouvernement de Theresa May n'attend pas l'Union européenne pour avancer ses pions. L'administration britannique a publié, ce 23 août, vingt-cinq documents listant les risques liés à une éventuelle absence d'accord, avant d'en dévoiler cinquante autres d'ici à la fin septembre. Au regard de ces éléments, voici huit points auxquels seraient exposés les sujets de Sa Majesté :

Hausse des frais bancaires

D'après ces notes, les Britanniques pourraient être confrontés à "une hausse des coûts et des procédures plus lentes" pour leurs transactions avec les 27 États-membres, tandis que "le coût de l'usage des cartes bancaires entre le Royaume-Uni et l'UE risque d'augmenter". Quant aux consommateurs qui achètent en ligne, ils pourraient voir leur frais augmenter car les colis livrés au Royaume-Uni n'auraient plus de TVA allégée.

De la paperasse supplémentaire

Les entreprises commerçant avec l'Union européenne seraient aussi confrontées à une hausse de leurs coûts à cause de frais douaniers et de paperasse supplémentaires. Le gouvernement les invite, "si nécessaire, [à] faire les démarches pour renégocier les termes commerciaux reflétant tout changement dans les procédures douanières et taxes, et tout nouveau droit de douane qui pourraient s'appliquer".

Elles doivent aussi envisager "s'il est opportun d'acquérir tout logiciel ou engager un courtier en douane, un transitaire ou un prestataire logistique pour les aider face aux nouvelles exigences".

La problématique irlandaise

La question du commerce entre l'Irlande du Nord, qui a majoritairement voté pour rester dans l'UE, et la République d'Irlande, État-membre depuis 1973, est l'une des plus problématiques des négociations sur le Brexit.

Les entreprises britanniques commerçant avec l'Irlande devraient donc "considérer si elles ont besoin de conseils sur les préparatifs qu'elles ont besoin de faire" en cas de divorce.

Fin des accords transfrontaliers ?

L'administration de Theresa May met en garde les clients de l'Espace économique européen (EEE) : ils ne pourront plus faire appel aux services d'une banque d'investissement située au Royaume-Uni tandis que les accords transfrontaliers ne seront plus valides.

Les banques peuvent néanmoins éviter ces perturbations en mettant en place des filiales dans l'Union européenne, ce que de nombreux établissements ont déjà commencé à faire.

Vers une Commission européenne de substitution

Afin de remplacer la Commission européenne est évoquée la piste de créer une autorité dédiée pour les réclamations des entreprises.

"Nous continuerons d'appliquer des contrôles douaniers fortement automatisés et basés sur le risque. Les autorités douanières travailleront avec l'industrie pour minimiser les délais et les fardeaux supplémentaires pour le commerce légitime, tout en assurant fermement le contrôle de conformité".

Les certifications européennes pour les médicaments maintenues

Si le Royaume-Uni va quitter l'Agence européenne du médicament, il reconnaîtra toujours les certifications européennes afin d'éviter une double procédure et une rupture de la chaîne d'approvisionnement.

Les banques du sang et les producteurs de produits à base de sang continueraient de se conformer aux exigences de l'UE tandis que les lois européennes sur les organes et tissus seront incorporés dans la loi britannique.

Le ministre du Brexit, Dominic Raab, a, lui, souligné que le Royaume-Uni allait aussi stocker des médicaments pour six semaines supplémentaires, en plus des trois mois de stocks actuels.

Sur l'aide humanitaire

Le gouvernement britannique a aussi annoncé qu'il financerait encore les programmes humanitaires de l'UE "où les organisations britanniques assurent la direction de projet ou sont les seules exécutantes".

Nouvelle iconographie pour les paquets de cigarettes

Une régulation britannique remplacera la législation européenne. Il faudra aussi introduire une nouvelle iconographie pour les paquets de cigarettes, "les droits pour les photos existantes étant la propriété de la Commission européenne".

(Avec agences)

Commentaires 58
à écrit le 25/08/2018 à 18:03
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Les anglais seront obligés de revoter:le Brexit c'est fini,l'espoir de quelques grincheux s'envole.L'Europe est construite pour etre irréversible

à écrit le 24/08/2018 à 22:59
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20% des Européens assimilent l' UE à la démocratie, soit autant que le nombre de Françaises fumant pendant leur grossesse. Coïncidence ? T' inquiètes pas Jean-Claude, on va voter.

le 28/08/2018 à 17:20
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Et 0.7% des français ont voté pour Asselineau UPR , ce qui est un pourcentage proche de celui des hommes français qui fument pendant leur grossesse.

à écrit le 24/08/2018 à 20:22
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S' il n' avait que le Brexit, ce serait un réel dérivatif. Chaque année, la France verse près de 20 milliards d'euros à l'Europe quand on lui reverse ..14. Combien coûte l'Europe aux Français? Quel salaire et quels avantages pour les dép...

le 25/08/2018 à 11:11
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Ces déplacements em…. les députés européens et font plaisir à la France et à Strasbourg

à écrit le 24/08/2018 à 19:45
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Le chômage britannique au plus bas depuis 1975- En 3 mois, le nombre de chômeurs au Royaume-Uni a baissé de 65 000 personnes pour arriver à un total de 1,3 millions. C’est le plus bas niveau depuis 1975. Parallèlement, les salaires ont augmenté de...

le 24/08/2018 à 20:41
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"La prétendue catastrophe du Brexit que nous avaient promise nombre de médias n’a pas eu lieu......". Le Brexit aura lieu en 2019. Attendez encore un peu....

à écrit le 24/08/2018 à 19:14
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Il est grand temps de se poser et réfléchir pour raison garder. Il est possible que les conservateurs défient le leadership de May. Nous en parlions en introduction avec le « Moggmentum » de Bojo. Boris Johnson est le challenger le plus sér...

à écrit le 24/08/2018 à 17:15
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Chers Sujets des Saxe-Cobourg und Gotha, restez (dés)unis en plusieurs nations comme au foot et au rugby, et, à défaut de pouvoir emporter votre bout de terre à la rame vers le grand large, arrêtez de pleurer sur votre sort!... Soyez orgueilleusement...

à écrit le 24/08/2018 à 17:04
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Et ben voilà, la vérité arrive au galop - pourquoi ces infos n'ont pas été sorties lors du référendum ? C'était plus facile de peindre un bus avec un slogan stupide, que de rentrer dans les vrais sujets ; l'économie et la société britannique sont t...

à écrit le 24/08/2018 à 15:36
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Le Brexit qui a été voté est bien la coupure complète avec l'UE donc la version dure (afin d'être efficace, rendre leur totale liberté de commercer avec qui ils veulent comme ils veulent voire devenir un paradis fiscal aux charges faibles afin d'atti...

à écrit le 24/08/2018 à 15:36
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Les anglais ont raison car le choix n'existe pas exactement en tant que tel, puisque ce qui est décrit comme "l'Europe de Macron" n'est en réalité que l'Union européenne tout court, dans ses gènes et ses fondations profondes, dont Macron n'est qu'u...

le 24/08/2018 à 16:52
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Les souverainistes comme vous essaient d'entretenir l'illusion selon laquelle l'UE serait une boite noire sur laquelle les citoyens n'auraient aucune influence. Pourtant libre à eux de mettre la pression sur leur chef d'Etat ou de gouvernement, e...

le 24/08/2018 à 19:00
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Il faut travailler son sujet, les gouvernements de l' UE ne servent à rien , à peine ont-ils un rôle consultatif quand les 28 commissaires non élus détiennent à la fois l' exécutif et le législatif, ce qui revient à dire q...

le 24/08/2018 à 19:42
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Mais, l'UE ne veut que créer une autre souveraineté sinon je ne vois pas sa raison d'être! Alors cherchez d'autre mobile!

le 24/08/2018 à 22:13
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@Tom L' UE a échoué parce qu' il est inscrit dans sa génèse qu' elle était créée pour se se substituer aux états nations, ce que les moineaux pas encore déplumés n' ont pas vu venir, point. Et on ne réussit pas ...

le 24/08/2018 à 22:39
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chez UPR vous êtes comme chez Mme Le Pen versatile un jour contre lendemain plein de compromis. Il faut dire que l'UPR est une inconnue pire votre parti est mené un comique qui ne connaissant pas le prix d'une porte avions a comme tous les médiocres...

le 25/08/2018 à 9:28
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@Versatile L' UPR fonctionne très bien sans vous, parti sans financement public et sans endettement et de tous, celui qui est en la plus forte progression, I'm so sorry for you!.

le 25/08/2018 à 14:37
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@Choumi je fais mon mea culpa sur le financement cela m’a permis de mieux cerner l’UPR. Tout d’abord vos adhérents au nombre de 30000 la comme tous les syndicats et partis politiques la salade des adhérents n’est jamais validée de l’extérieur on peut...

le 25/08/2018 à 16:57
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@fonctionne très bien mais pas d'élu! Les analyses de l' UPR sont factuelles et rejointes par les meilleurs spécialistes économiques allemands, ne soyez donc pas inquiet et plutôt que stipendier le remain, ouvrez le Brexit/Fr...

à écrit le 24/08/2018 à 15:19
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l Angleterre n est pas dans l euro ....

à écrit le 24/08/2018 à 14:12
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L' UE, il faut lui parler comme ça et la renvoyer dans ses buts avec ses lobbys qui engraissent le 1%, ses politiques d ' austérité qui effondrent les peuplesquand elle ne vit que de l' argent qu' elle leur pique. Migrants...

à écrit le 24/08/2018 à 12:21
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Il n'y a pas besoin de Londres pour que Bruxelles se mette la pression, le problème est qu'elle a un cahier des charges dogmatiques; qu'elle ne peut revenir en arrière, n'y changer le but assigné! Ceux sont les "autres" qui doivent s'ajuster par la r...

à écrit le 24/08/2018 à 12:16
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On peut parier qu'il va y avoir un autre referendum prochainement, les Anglais comme les français en 2005 n'ont rien compris, il fallait voter oui. Ceci étant dit, au cas ou ils réintégreraient l'UE, ça serait une chance à saisir pour qu'enfin l'UE d...

le 24/08/2018 à 12:59
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Et.. qu'il y ai comme au USA, 'des patriotes' qui demandent encore leur indépendance et de constant conflit! Rien de réjouissant! De plus le fait de s'unir: c'est d'éviter les conflits, alors pourquoi une armée et des pays uniformes dans leur manière...

à écrit le 24/08/2018 à 11:45
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Londres communique beaucoup à contrario de Bruxelles qui reste relativement silencieuse. Le négociateur M. Barnier informe les différents gouvernements du niveau des négociations avec une ligne qui semble à ce jour ne pas dévier de celle du début. L...

le 24/08/2018 à 12:34
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On suppose toujours que l'UE sera la même avant qu’après, c'est comme l'euro: Que sera l'euro quand un pays aura retrouvé sa monnaie nationale? Plus solide ou plus fragile qu'avant? Quand on voit les efforts des uns et des autres, on a la réponse!

le 24/08/2018 à 14:01
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La sortie c' est au maximum 30 milliards cad ce qui reste à donner à l' UE de la part des britanniques s' ils étaient restés dans l' UE (anglais qui perdent de l' argent comme nous-mêmes contributeur net qui perd 9 milliards...

le 24/08/2018 à 16:37
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l'UPR toujours dans le mensonge comme vos commentaires sur l'impossibilité pour la France de sortir seule du Glyphosate . Pour ce qui est du choix vous ne pouvez le dire car le RU est toujours dans l'Union seule des suppositions peuvent être données ...

à écrit le 24/08/2018 à 10:58
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depuis une dizaine d années l austérité est catastrophique en zone euro et profite a une minorité de (riches) .. les décideurs ne protègent plus leur pays . une mondialisation sans limite est devenue destructrice ou va la FRANCE ,?

le 24/08/2018 à 11:14
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Quel est le lien avec l'article .???

à écrit le 24/08/2018 à 10:22
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A en croire le contenu de l'article, ce sont surtout les anglais qui seront impactés. Pour ce qui est de l'accès aux banques d'investissement londoniennes, je doute que ça émeuve grand monde en Europe. Ça ne concerne que les amis de Macron.

à écrit le 24/08/2018 à 10:10
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ooouuuuu....ca y est l'Europe à peur !!

à écrit le 24/08/2018 à 8:47
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Pour l’Europe des marchands c'est embêtant et dommageable mais concernant l’Europe politique aucune conséquence car elle n'existe pas, par exemple la France qui se couche devant les États unis dans l'affaire de l'Iran.

le 24/08/2018 à 10:13
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Ce n'est pas la France mais les grandes entreprises françaises qui ne veulent tout simplement pas répercuter les sanctions américaines sur leurs résultats. PSA, par exemple, est actionnaire à près de 50 % de Faurecia qui est le 5ème équipementier en ...

le 24/08/2018 à 12:40
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Quand les entreprises non plus de nationalité, elle n'ont plus l'appui de l’État, et encore moins, la protection de cet administration qu'est l'UE de Bruxelles!

à écrit le 24/08/2018 à 8:41
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En quoi est-ce mettre la pression sur Bruxelles ? Il apparaît, au contraire, qu'ils ne sont pas prêts du tout et vont tout simplement s'aligner sur les procédures de l'EU car ils leur faudra légiférer pendant de longues années avant de reprendre leur...

le 24/08/2018 à 11:17
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Excellente compréhension des enjeux dans vos commentaires

le 24/08/2018 à 14:02
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En quoi ne sont-ils pas prêts ...?

à écrit le 24/08/2018 à 8:29
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Les medicaments !Comme si il n'y avait que l'Europe pour fournir des medicaments !Les USA et la Suisse pourraient se regaler de cette situation et prendre les parts de marché des labos européens !La mesure anglaise est une mesure purement technique c...

le 24/08/2018 à 9:33
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La GB n est pas dans Schengen, c est ballot... S ils ont des "Polonais", c est parce Qu ils l ont choisi et refusé de mettre des restrictions légales, comme nous ou les Allemands. Je vous laisse deviner pourquoi... Quant au médicament je vous laiss...

à écrit le 23/08/2018 à 23:27
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Pas sûr en cas de Brexit dur, que le royaume unis soit encore unis dans 30-50 ans ^^ Vive l'écosse libre et l'irlande unie !

le 24/08/2018 à 13:02
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oui vive le royaume désunis (^u^)

à écrit le 23/08/2018 à 22:10
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Voilà de très bonnes nouvelles. Il est temps que le royaume uni se rende compte de ce que cela veut dire d'être un pays tiers. Et cela est censé effrayer les européens ?

le 24/08/2018 à 15:41
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Oui, parait qu'on ne pourra plus avoir les délicieux sandwichs Mark&Spencer tellement les camions seront bloqués longtemps à la frontière pour les formalités, ça défraichira leur superbe qualité. Rien que ça devrait nous effrayer. :-) (je les fais mo...

à écrit le 23/08/2018 à 21:55
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Ces rapports n ont qu un effet interne et démontre la dangerosité, pour ne pas dire la stupidité, de l option no deal, toujours défendu par certains.. D ailleurs ils ne font que renforcer le camps du remain et du second référendum. Qui a envie de...

le 24/08/2018 à 2:52
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Ne vous deplaise, cette mascarade est desormais actee. Nombre de banques ont delocalisees leurs activites. Retour en arriere pour le moins difficile. La France va perdre aussi dans cette affaire.

le 24/08/2018 à 8:42
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Certaines choses sont actée mais c est une partie du prix du bazar engendré. Pour le reste, on leur répète que la porte est toujours ouverte et jusqu'à preuve du contraire ils sont toujours en démocratie et peuvent changer d avis... Will see...

à écrit le 23/08/2018 à 20:36
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Le titre n'a aucun rapport avec le contenu de l'article. Un stagiaire journaliste ou une volonté délibérée d'aguicher le lecteur?? Sur la certification des médicaments: la réciproque ne sera pas vraie: un médicament mis sur le marché en Angleter...

à écrit le 23/08/2018 à 19:44
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Bien sûr que l’UE va souffrir du brexit. C’est juste que le Royaume-Uni en souffrira beaucoup plus. Bref, le rapport de force reste identique par rapport au début de la négociation, et en défaveur du Royaume-Uni. Les britanniques vont devoir s’habit...

le 23/08/2018 à 21:41
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Voyons, réciter le catéchisme européiste n' est plus de mise, le BREXIT dur ou ..mou va avoir lieu, heureux anglais. Et l' Italie qui monte juste derrière, c' est le début de la fin faute d' avoir anticipé le grand m...

le 24/08/2018 à 8:31
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La glu de l'UE.... ???? , ce brexit montre aussi tout l 'intérêt de l'UE dont les rosbifs ont tiré tous les avantages possibles. Y compris et surtout avec l'Irlande du Nord.

à écrit le 23/08/2018 à 19:22
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Le titre de l'article est malhonnête, la liste de risques cités sont des risques pour le Royaume-uni et non pour le reste de l'UE. Bref le RU se met la pression à lui-même.

le 24/08/2018 à 13:26
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Quand même... le harakiri économique que s'inflige le Royaume-Uni ne peut nous laisser indifférent... je ne me remettrai pas des taxes à l'importation sur le Stilton et le Cheddar.

à écrit le 23/08/2018 à 18:49
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On nous annonçait tous les jours que Barnier faisait des étincelles en terme de rapports de force avec les anglais ...!

le 24/08/2018 à 8:59
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??? Il n'a pas bougé d'un pouce en ce qui concerne les principes européens en matière d'indivisibilité des 4 libertés de circulation des personnes, des biens, des services et des capitaux. Les britanniques sont bloqués par la division interne des Tor...

le 24/08/2018 à 12:49
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On a même pas la liberté d’être en prison ou dans une dictature reconnue, non c'est pire, vous êtes dans un "vivier"!

le 24/08/2018 à 13:28
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C'est May et l'exécutif britannique qui sont dans la seringue, pas Barnier ni l'UE.

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