Les fusions et acquisitions pourrait s'accroître en valeur de plus d'un tiers en 2011 pour atteindre leur plus haut niveau depuis la crise financière, grâce notamment à la forte reprise dans les secteurs de l'immobilier et des services financiers, selon une enquête menée par Thomson Reuters et le cabinet de consultants Freeman auprès de 150 chefs d'entreprise de toute taille mais majoritairement américaines.
Le montant global dépassera l'an prochain 3.000 milliards de dollars, au plus haut depuis les 4.280 milliards de dollars de 2007. L'une des principales motivations stratégiques des accords de fusion en projet est la pression imposée par la concurrence pour rester à niveau.
Pour la moitié des sondés, les marchés émergents sont la région la plus attractive pour mener des acquisitions l'an prochain. Les placements en Bourse, portés par les secteurs des médias et de l'immobilier, devraient également augmenter en 2011, de 21% par rapport à 2010, à 902 milliards de dollars. Les placements d'emprunts par les entreprises augmenteraient quant à eux de 14%, à 1.280 milliards de dollars en 2011.
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