Thomas Cook voit sa perte annuelle se creuser à 725 millions d'euros

Le voyagiste britannique a vu sa perte annuelle se creuser sur son exercice 2011-2012. Toutefois, le groupe affiche son "optimisme" grâce aux résultats de son profond plan de restructuration.

latribune.fr

28 Nov 2012, 8:46

Thomas Cook continue de broyer du noir. Mercredi, le voyagiste britannique a vu sa perte annuelle se creuser. Celle-ci s?est élevée à 585,9 millions de livres (près de 725 millions d'euros) sur l'exercice décalé 2011-2012 achevé fin septembre, contre 520,7 millions de livres un an plus tôt, a-t-il annoncé dans un communiqué. Pour sa part, le chiffre d?affaires a reculé de son côté de 3,2% à 9,5 milliards de livres.

Des résultats "masquant des améliorations"

Pour Harriet Green, la directrice générale qui a pris la tête du groupe le 30 juillet pour le redresser, ces résultats reflètent "les problèmes majeurs auxquels Thomas Cook a fait face l'an dernier". Mais d?après elle, ceux-ci "masquent les améliorations que nous avons effectuées au quatrième trimestre". La directrice générale argue que "l'année qui est devant nous est la phase initiale de ce redressement". Tout en se disant "optimiste pour l'avenir".

Dans son communiqué, Thomas Cook souligne notamment que la saison hivernale 2012/2013 a connu "un bon départ sur tous nos marchés principaux". En outre, le groupe se félicite de la réduction de sa dette à 788 millions de livres contre 891 millions un an plus tôt grâce à des cessions.

Lire aussi : Thomas Cook France est en vente

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Commentaires 2

Heron36100 à écrit le 09/10/2015 à 8:27

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N° commande 0060310610 A l’attention de Cathy Aquatour Je rentre d’un séjour sue Agadir dans l’hôtel Iberostar Bounty Beach et au vue du prix demander je trouve qu'il manque un certain confort en voici le détail - Le responsable... N° commande 0060310610 A l’attention de Cathy Aquatour Je rentre d’un séjour sue Agadir dans l’hôtel Iberostar Bounty Beach et au vue du prix demander je trouve qu'il manque un certain confort en voici le détail - Le responsable du séjour Mohamed. Izarif a été informé des problèmes dès le début de notre séjour - La wifi plus que désastreuse réception et émission plus de 45 Mn d’attente pour émettre comme réception et au centre de la salle de réception - l'isolation entre chambre doit être en papier, bruit de la chambre du dessus ou pendant les 15 jours on fait voyager les lits - le jus d'orange de qualité exquise la 1ère semaine est devenue presque imbuvable pendant quelques jours pour revenir correct à la fin du séjour malgré les remarques auprès des responsables de salle - la considération du personnels de la réception manque d'un certain savoir vivre ou plutôt un apprentissage dans des écoles spécialisées ne voulant pas comprendre notre langage alors que le personnel avait un Français parfait - le restaurant typique n'est pas à la hauteur de sa réputation et de notre attente donc ne vaut pas ses étoiles - lors de la réception de la clé de chambre nous n'avons pas été prévenue que celle-ci devait être réinitialisé après la 1er semaine (ce qui est très désagréable) de constater à minuit alors que l'on est fatigué que l'on ne peut rentrer à notre chambre et que celle-ci doit être réinitialisée (donc retourner a la réception) - la location d'un coffre devant être loué. Alors que dans de nombreux hôtel ce produit est gratuit Ainsi que la serviette de plage avec une caution en Dirham alors qu'un chèque aurait eu la même utilité sans bloquer une somme devenue inutile et inchangeable car votre service ne change pas de dirham en Euro (volonté) - le jour de notre arriver le placeur devant nous amener à notre chambre ne connaissait pas la position de celle-ci et nous a fait faire une visite des étages (pas très agréable) - malgré les indications sur dossier absence de climatisation et absence de balcon ou terrasse (voir dictionnaire) - pour le prix demander absence de miroir grossissant, absence de boîte de kleenex en SDB - par contre le choix et la qualité des repas sont soigné avec le volume souhaité Je peux donc vous garantir une très grande publicité envers nos amis et connaissance Mr Gautheron

atlantiquesud à écrit le 28/11/2012 à 16:44

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On peut toujours justifier la crise économique, les compagnies low costs, la vente par Internet, la révolution arabe, etc. si l'on prend l'exemple de la filiale France depuis sa création en 2003 l'objectif était d'atteindre 500 000 clients en cinq an... On peut toujours justifier la crise économique, les compagnies low costs, la vente par Internet, la révolution arabe, etc. si l'on prend l'exemple de la filiale France depuis sa création en 2003 l'objectif était d'atteindre 500 000 clients en cinq ans. Résultat en neuf ans, à peine 250 000 clients, qui se décompose en 60 000 clients de la marque Aquatour marque, TO du Nord de la France, qui à été la première acquisition pour lancer la marque Thomas Cook France. 110 000 clients par le rachat de jet Tour. Le constat fait que le TCF, n'a réellement gagné une part de marché de 70 000 clients. Bien loin des objectifs et de la stratégie de la maison mère. La faute à qui ? En premier lieu au grand gourou belge, qu'il n'avait aucune expérience du marché français. Après avoir fait l'acquisition du réseau Havas s'en protéger la marque, décide de que l'ensemble des agences de voyages porteront le nom de Thomas Cook. Marque qui sera utilisé pour le tour-opérateur avec une deuxième marque Neckerman. Pas moins de neuf présidents pendant toute cette période, un turnover de cadres dirigeants qui on un manque de définition de la stratègie. Pourtant depuis le départ des moyens financiers n'ont jamais manqué. Le résultat pendant toute cette période, c'est que des directeurs ont eu pour seule préoccupation de sauver leur tête. Guerre de pouvoir putschs ça ressemble un parti politique français de droite et sur le vote. Les quatre premières années, ont été sur le positionnement des marques grandes réflexions, que les vendeurs ont absolument pas compris. Un autre grand gourou le directeur de la production se voyait déjà avec la marque Neckermann, comme le IKEAE du tourisme !!! Aujourd'hui la maison-mère se retrouve dans cette galère, c'est d'avoir fait confiance et donner le pouvoir à des gens, qui n'était a priori pas compétent pour relever ce défi. Pour être tout à fait objectif certain président avait peut-être le costume, mais pas les coudées franches pour relever les ambitions de devenir un tour-opérateur de référence. Aujourd'hui trouver un repreneur pour la partie réseau demande de changer à nouveau les enseignes, concernant le tour-opérateur il semble qu'une boîte vide ne vaut pas grand-chose. Cerise sur le gâteau le grand gourou de la production est toujours en place ? Comme quoi il ne faut pas dire que les managers en Angleterre sont des tueurs

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