Dans le département de Loire-Atlantique, l'industrie « paie le plus lourd tribut à la crise », écrit Presse Océan : depuis le début de l'année, 311 entreprises ont utilisé le chômage partiel pour leurs 11.630 salariés. À l'instar de l'usine Waterman de Saint-Herblain où les salariés, de plus en plus exaspérés, voire en colère, ne travailleront que dix jours en avril et neuf en mai, et seulement six heures par jour.

« La Provence » a « passé à la loupe dix secteurs où rouler reste un cauchemar pour les automobilistes marseillais. De l'angle de l'avenue Sartre et de l'avenue des Olives (XIIIe) à Sakakini en passant par la rue Breteuil, entre autres ». Le pire, selon le quotidien ? Le carrefour Rabatau-Cantini-Schloesing, « où on peut quitter son véhicule, aller boire un café au bistrot d'en face et revenir sans que la chenille ait avancé d'un mètre »?