Si elle était autorisée à ouvrir le dimanche, l'enseigne pourrait créer de 150 à 200 emplois dans ses grands magasins du boulevard Haussmann à Paris, assure son PDG, Paolo De Cesare dans un entretien à « La Tribune ». Clientèle touristique oblige, il plaide pour une réforme de la législation, à la veille de l'examen d'un nouveau texte sur le travail dominical par les parlementaires. Une libéralisation tomberait à pic : le Printemps est en train de se métamorphoser pour mieux servir les touristes aficionados du luxe à la française. Et peu importe le retournement du marché mondial du luxe, la France échappe au phénomène, assure Paolo De Cesare. page 10

latribune.fr

02 Juill 2009, 1:37

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