Avec la Corée du Sud, Paulinia est l'un des deux sites de Rhodia qui lui assurent des crédits carbone (CER). Mis sur pied en 2006, le système élimine le protoxyde d'azote (N2O) issu de la production d'acide adipique. Il est transformé en oxygène et azote. Un investissement de 10 millions d'euros « vite rentabilis頻, selon le chimiste. Et pour cause : l'an dernier, les crédits carbone ont représenté près d'un quart de l'excédent brut d'exploitation de Rhodia, soit 158 millions d'euros. Une source de revenus qui pourrait disparaître à partir de 2013, en fonction de l'évolution du mécanisme qui pourrait être réévalué à Copenhague.

latribune.fr

05 Déc 2009, 1:42

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