Les « drôles de pratiques » des labos

« Cela a été efficace, mais nous ne le ferons plus », jure-t-on la main sur le coeur chez Sanofi... Le labo tricolore a été accusé par Teva de dénigrer les génériques de son blockbuster Plavix (clopidogrel) auprès des pharmaciens pour conserver des parts de marché. Les labos continuent souvent de vanter leurs molécules auprès des médecins et des pharmaciens après la perte de brevet. « En 2010, le recours aux génériques a été 30 à 40 % inférieur à la moyenne pour les antihypertenseurs Zanidip des laboratoires Pierre Fabre et Bouchara-Recordati, et Cozaar de Merck » révèle un génériqueur sous couvert d'anonymat. A. T.
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