Introduite en Bourse en 2006 pour effectuer des levées de fonds en vue de réaliser des acquisitions, eFront a passé les cibles potentielles au crible de sa plate-forme. À l'époque, si le rachat d'une société régionale était trop peu créateur de valeur, l'acquisition de l'un des cinq grands était financièrement trop risquée. Devenu muméro 2 mondial, certaines acquisitions lui sont maintenant accessibles. Mais la société en a-t-elle encore besoin ? J. N.
Des acquisitions en suspens
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