Le Premier ministre de Tuvalu, Apisai Ielemia, prêche dans le désert. Son micro-État pèse peu parmi les mastodontes américains ou chinois dans les négociations sur le climat. Mais c'est pourtant cette petite île du Pacifique qui aurait le plus à perdre à un échec. « C'est le paradoxe de notre monde moderne que le sort du monde soit déterminé par les sénateurs américains », a tempêté le représentant du Tuvalu. À Copenhague, il est venu réclamer une limitation de la température de 1,5 °C. L. C.apisai ielemia,l'oublié
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