le télégramme  :   le client n'a pas toujours raison

Des mots désagréables, parfois humiliants, voire des menaces ou des agressions physiques : dans les banques, les services publics, les commerces, des salariés sont de plus en plus confrontés aux débordements de la clientèle, affirme le quotidien breton. Le phénomène n'est pas nouveau, ajoute-t-il, mais la crise accentue parfois les incivilités des clients impatients ou mécontents. Les salariés les plus exposés sont chargés de clientèle dans une banque, à La Poste ou chez France Télécome;lécom, chauffeurs de bus, caissières dans un magasin, téléprospectrices dans un centre d'appels, etc.Installée à Trucy (Aisne), la PMI de 32 salariés et 2,5 millions d'euros de chiffre d'affaires, qui fabrique des plateaux de vélos de compétition, est amenée à s'agrandir pour continuer à exporter 60 % de sa production dans quarante-huit pays, indique le quotidien. Elle sera à la fin de l'année dans ses nouveaux locaux situés à Sissonne (Aisne), où Valeo fabriquait jusqu'en 2004 les faisceaux de fils de cuivre des voitures, avant que l'industrie automobile ne passe à la fibre optique afin d'alléger les véhicules.C'est le nombre d'emplois qui ont été détruits en 2009 en Seine-Maritime et dans l'Eure, les deux départements de la région Haute-Normandie, rapportait hier le quotidien de Rouen. « Paris Normandie » a consacré deux pages à ce dossier et publié deux cartes pour permettre à ses lecteurs de « localiser les sites touchés par les licenciements ».
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