Procès Carlton : Dominique Strauss-Kahn relaxé

Ce jugement est conforme aux réquisitions du parquet, qui avait demandé en février dernier la relaxe "pure et simple" de l'ancien patron du Fonds monétaire international.

latribune.fr

12 Juin 2015, 13:21

L'ancien patron du Fonds monétaire international risquait en théorie jusqu'à 10 ans de prison et 1,5 million d'euros d'amende.

Dominique Strauss-Kahn a été relaxé vendredi dans l'affaire dite du Carlton de Lille, où il était poursuivi pour proxénétisme aggravé. L'ancien patron du Fonds monétaire international (FMI), âgé de 66 ans, était présent au tribunal correctionnel de Lille pour entendre ce délibéré.

Ce jugement est conforme aux réquisitions du parquet, qui avait demandé en février dernier sa relaxe "pure et simple", à l'issue de trois semaines de procès au cours desquelles sa défense n'avait guère été mise à mal.

Quel rôle dans l'affaire ?

Soupçonné d'avoir été le "pivot central" de rencontres avec des prostituées entre 2008 et 2011 à Lille, Paris, Bruxelles et Washington, il a toujours nié avoir été à l'origine des "parties fines" auxquelles il a participé, ajoutant n'avoir jamais soupçonné la qualité des participantes.

L'ex-ministre de l'Economie, un temps promis aux plus hautes fonctions en France, risquait en théorie jusqu'à 10 ans de prison et 1,5 million d'euros d'amende.

Commentaires 24

KIKOU à écrit le 14/06/2015 à 21:13

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Accuser DSK de proxénétisme aggravé était absurde. Client oui mais maquereau? La justice française est comme le reste des institutions françaises. Ce pays s'effondrera.

Réponse de taranis le 15/06/2015 à 12:06

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Les mal nommés « clients » sont des prostit-tueurs en ce sens qu’ils sont la raison et la cause essentielle du système et de toutes ses violences, il sont directement responsables du proxénétisme et de la traite puisque que ce sont eux qui les alimen... Les mal nommés « clients » sont des prostit-tueurs en ce sens qu’ils sont la raison et la cause essentielle du système et de toutes ses violences, il sont directement responsables du proxénétisme et de la traite puisque que ce sont eux qui les alimentent, et même en dehors de ces situations les plus extrêmes (mais massives), ils sont directement responsables de la violence inhérente à toute situation prostitutionnelle (le besoin d’argent constituant a minima une contrainte déterminante même dans les démarches dites « volontaires ».) La prostitution, c’est un acte sexuel imposé, sous contrainte, celle de l’argent ou pire, celle d’un tiers. C’est une violence sexuelle, perpétrée par eux. Il suffit de relire les minutes des témoignages de ces femmes manipulées par des hommes sans scrupules pour constater leur vocabulaire commun avec les violeurs et la culture du viol qui y règne. En droit, la définition de la prostitution, est celle qui ne met en avant que la personne prostituée, qui est généralement retenue. En conséquence, c’est d’abord la personne prostituée, et non le client prostitueur, qui est appréhendée par le droit. Dans le cadre du délit de racolage, on constate d’ailleurs que même lorsque l’interprétation des textes permettrait aisément l’appréhension des clients prostitueurs, seules les personnes prostituées sont poursuivies. C’est notamment le cas en France où la définition du racolage passif pourrait tout à fait être appliquée au client prostitueur. Le Code pénal définit en effet le racolage comme « le fait, par tout moyen, y compris par une attitude même passive, de procéder publiquement au racolage d’autrui en vue de l’inciter à des relations sexuelles en échange d’une rémunération ou d’une promesse de rémunération ». Malgré cette définition ouverte le délit de racolage n’est jamais appliqué contre les clients prostitueurs. La France pays abolitionniste ont-ils votes tous ensemble pays des droits de l'homme obligent , oui mais pas trop, nos vieusx conservateurs du Senat veillent au grain

michel à écrit le 14/06/2015 à 12:52

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justice pour tout le monde .

yoyo à écrit le 14/06/2015 à 10:26

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Quel soulagement pour tous les autres qui ont le même comportement que DSK et qui maintenant peuvent continuer à "fréquenter "

taranis à écrit le 13/06/2015 à 12:40

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L’instruction ne s’est pas trompée, 3 juges l’ont validé et tous les pourvois en appel de la défense ont été rejetés Le parquet lui aussi a validé même le renvoi du naïf DSK, maintenant c’est la justice patriarcale qui a été rendue avec son lot de c... L’instruction ne s’est pas trompée, 3 juges l’ont validé et tous les pourvois en appel de la défense ont été rejetés Le parquet lui aussi a validé même le renvoi du naïf DSK, maintenant c’est la justice patriarcale qui a été rendue avec son lot de conservatisme alors qu’une nouvelle jurisprudence pouvait émerger, bien sûr que la loi est le reflet de nos valeurs morales puisque c’est elle qui fait les limites de la Liberté en Société c’est le compromis entre libertaires et humanistes.. La définition large du proxénétisme permettait cette évolution d’interprétation…Le client parfois aide, et assiste la prostitution d’autrui en tant qu’organisateur de ce type de rencontres dans des bordels éphémères... Oui seul le fournisseur en contact direct été condamné,- et d’autres pour des abus financiers vis-à-vis de leur entreprises- le délit ne repose que sur lui seul (pas d’effet de meute) merci les copains !!! En effet à fournir en connaissance de cause des locaux publics ou privés à des personnes se livrant à la prostitution. Une chambre d’hôtel au Carlton par exemple c’est bien cela Ce genre d’extra permet de faire du lobbying en laissant moins de traces sur le compte en banque qu un pot de vin. Aussi simple que ça. Pour récompenser un monsieur important, s’attirer ses faveurs, emporter un marché ou le faire chanter s il a des intentions politiques, rien ne vaut l’usage de la bonne vieille marchandise féminine. Savamment emballée, tel un paquet cadeau, elle fait un parfait pendant à la Rollex que l’homme épris de réussite arbore au poignet. Formatée et surtout parfaitement interchangeable. La voilà donc, la présence des femmes dans les milieux d’affaires ! A eux les discussions, les opinions, les décisions. A elles, la décoration. Ils sont droits dans leurs bottes, elles sont reléguées à leur rôle de toujours ; horizontal de préférence. La beauté, le chic, la classe… Sans doute. Si un diplôme ne nuit pas pour donner la réplique et ne pas démériter dans les dîners mondains, l’art à cultiver est avant tout celui de savoir se taire, d opiner du bonnet, de flatter le bon payeur et de se plier à toutes ses exigences. Toutes…. Si les conseils d’administration sont toujours aussi masculins, qu on se rassure. Les bordels de Dodo la Saumure restent bien féminins. Respect des traditions : chacun sa place, chacun ses repères. Dans la lucarne du Carlton, tout est dit sur le statut des femmes dans la société et dans les esprits. Prostituée à l’écran plus souvent qu à son tour, prostituée dans la vie pour booster des affaires qui se mènent de la seule manière sérieuse qui soit : entre hommes. Que ladite marchandise revendique à l’occasion son statut de marchandise en le brandissant comme une preuve de sa liberté ne change rien au problème de fond. Le fait qu une femme soit encore et toujours un jouet, un outil, un trophée. Quand bien même elle le voudrait – ou le vaudrait - bien.. Comment, au 21e siècle, peut encore régner ce qui s’apparente à un droit de cuissage dans les cercles du pouvoir et de l’argent ? Si des hommes, partout dans le monde, ne cherchaient pas à acheter des services sexuels, des millions de femmes et d’enfants ne seraient pas soumis à une existence déshumanisante.

Réponse de @taranis le 13/06/2015 à 18:27

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Excellent.

Réponse de bili Hari le 13/06/2015 à 21:02

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attention, votre texte serait "modéré" dans un journal comme le figaro..:)

Réponse de Amarante le 13/06/2015 à 23:33

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Rien de bien neuf en ce monde, Zahia et autres courtisanes du bunga-bunga chères à notre ami Sylvio continueront d'évoluer dans ces sphères où l'argent coule à flot. Est-ce que cela valait un tel effet médiatique et la mobilisation d'autant de moyens...

Justice instrumentalisée à écrit le 13/06/2015 à 11:33

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Confondre client et proxénète c'est comme confondre viol et machination mais comme dit l'adage :qui veut noyer son chien...

élu ps à écrit le 13/06/2015 à 9:46

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Super !! réjouissez vous, les filles !! :-))

Toto à écrit le 12/06/2015 à 21:10

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Si on comprend bien cette histoire, il y a un juge d'instruction qui ne s'est fait que plaisir (chacun ses plaisirs, n'est-ce-pas) en renvoyant DSK et ses copains au tribunal. Combien cela a-t-il coûté à la collectivité ? La justice a-t-elle tant de...

Réponse de malcomprenant le 13/06/2015 à 8:44

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DSK a été condamné qu importe les jugements ! Il est cuit politiquement et chacun devrait se poser la question : à qui cela profite? Idem pour NS , des affaires qui font pschitt .

philanthrope à écrit le 12/06/2015 à 19:28

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Une nouvelle fois la justice vient d'être rendue, sans que l'on n'y comprenne rien. Du moins, sans que des explications logiques guident le choix qui a été décidé. Laissant ainsi en plus de l'incompréhension , le ressenti d'une entorse à la loi. D'un... Une nouvelle fois la justice vient d'être rendue, sans que l'on n'y comprenne rien. Du moins, sans que des explications logiques guident le choix qui a été décidé. Laissant ainsi en plus de l'incompréhension , le ressenti d'une entorse à la loi. D'une usurpation politique dont ressort la pauvreté des autorités judiciaires. On rend sentence, comme si l'on tenait compte de circonstances particulières ; atténuantes. Bien que celles-ci puissent exister dans de nombreux cas. Faut-il au moins qu'elles soient en lien avec les faits incriminés. Or ce n'est pas le cas. Qu'il s'agisse de jugement, ou même d'appréciations..., d'observations faites par les médias. Il est impossible de prendre considération sur des faits, des agissements, des prises de position, dès qu'il s'agit de personnalités dont on estime qu'elle ont suffisamment servi, pour être absoutes de fautes considérées (par qui) comme vénielles. Est-ce cela, ou tout simplement le fait que le pouvoir refuse à se déjuger vis à vis de certains personnages que l'on a conduit au firmament de la respectabilité. Et dont on s'aperçoit aujourd'hui qu'ils ont trahi toute la confiance accordée. Non pas dans le démérite des attributions confiées (encore que cela existe aussi). Mais dans l'éthique requise à tout responsable. Le savoir ne doit pas supplanter l'éthique (l'histoire prouve que nul n'est irremplaçable) . Je n'évoque pas l'aspect immoral dont peut se teinter certaines actions ; ne soyons pas naïfs. je parle d'acte répréhensibles. D'actes n'ayant aucun lien avec la nature de la fonction, de la mission. Sinon on pourraient évoquer les circonstances aggravantes (ce qui est déjà peu courant dans nombreux cas). Quand cessera - t- on ce genre d'approche très singulière, synonyme de disparité flagrante. Autant l'on approuve le respect d'une hiérarchie bienfaisante, autant l'on réprouve toute inconduite. Celle effaçant la reconnaissance d'une inconduite notoire. Ce n'est plus de la mansuétude dès lors que la faute ou l'infraction est caractérisée, reconnue comme grave et sanctionnée comme telle pour d'autres. - Est-ce que le " Selon que vous serez..." continuera longtemps à fonctionner. Je sais que poser la question c'est déjà y répondre, pourtant les esprits s'éveillent un peu plus chaque jour.

Pitcho à écrit le 12/06/2015 à 18:36

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Sarko, Woerth, DSK... Il serait temps que des juges politisés soutenus par des médias non moins politisés arrêtent de mobiliser des moyens matériels et humains considérables pour des résultats qui sont prévisibles pour le moindre étudiant en deuxième...

gringo à écrit le 12/06/2015 à 17:13

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Considérer que comme l'appartement dans lequel avait lieu ces orgies sexuelles, était loué par DSK, que certaines femmes étaient payées, et qu'il y avait échange de partenaires, cela faisait de DSK un proxénète, relève des pratiques dignes de la Chin...

Le droit contre la morale à écrit le 12/06/2015 à 15:38

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Pour justifier cette décision on a beaucoup insisté sur le fait que la morale n'avait rien à voir avec le droit . Cette justification est inquiétante dans la mesure où elle montre un énorme décalage entre droit et morale; evoquer aujourd'hui la moral...

Réponse de gringo le 12/06/2015 à 16:58

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Faire des orgies sexuelles avec des prostituées, cela est clairement réprimandé par la morale judeo-chretienne! Mais cela n'est pas condamné par le droit, et comme la France est encore un Etat de droit, il n'y a aucune raison que cet homme soit co...

pasquedubien à écrit le 12/06/2015 à 14:51

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Le même jour, dans sa grande sagesse, la Nation vote des peines pour les sans-dents , qui se feraient prendre ...... Relaxe !!!!!

taranis à écrit le 12/06/2015 à 14:49

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Evidemment qu’il est sorti blanchi du tribunal puisque la charge portée contre lui n’était tout simplement pas la bonne. "Client" il était, avant toute chose. Or, la loi actuelle – qui pourrait changer prochainement avec le vote des députés aujourd’h... Evidemment qu’il est sorti blanchi du tribunal puisque la charge portée contre lui n’était tout simplement pas la bonne. "Client" il était, avant toute chose. Or, la loi actuelle – qui pourrait changer prochainement avec le vote des députés aujourd’hui même – ne pénalise pas les comportements décrits devant le tribunal. Comme toujours, les faits de violence ne sont pas retenus comme des viols, puisqu’il s’agit de prostituées…Il reste que ce procès aura été plein d’enseignements., il n’est pas comme beaucoup le disent « tout ça pour ça »Les témoignages des quatre femmes qui ont eu le courage de se porter partie civile est révélateur de l’exercice du pouvoir . Un coin du voile a enfin été levé sur cette prostitution « de luxe » tellement glamourisée dans les medias, et au passage sur la prostitution tout court. Le fantasme en a heureusement pris pour son grade. Ces messieurs n’étaient que des "clients" de la prostitution dans une fête "gauloise", une bande de potes qui ont fait la fête et se sont adonnés à une balade un peu virile et canaille…«Chambre avec oreiller» ou «chambre garnie» sont les expressions pour désigner ces «escorts», prostituées des milieux aisés. Dans l’affaire lilloise, elles étaient des «dossiers», des «valises» ou des «marchandises». Etre offerte en cadeau à des chefs d’entreprises ou des hommes politiques est une pratique fréquente pour favoriser certains contrats, mais taboue et peu réprimée. Comme chaque fois que ce sujet est abordé, certains ne peuvent s'empêcher de pérorer sur la prétendue « liberté de se prostituer ». Défendre le droit à disposer de son corps, n’est pas défendre celui de disposer du corps des autres. On voit bien à quel niveau ces gens-là placent la dignité humaine. Il y a un siècle, Auguste Bebel, militant socialiste et ardent défenseur de la cause des femmes, expliquait déjà que « le monde masculin a toujours considéré le recours à la prostitution comme un privilège naturel lui revenant de droit ». Dans une société bourgeoise où tout se vend et tout s'achète, cela n'est malheureusement même pas étonnant. Au lieu de toujours designer le pire, souvent ailleurs c’est plus simple, voilà une raison de plus pour en finir avec cette société qui, sur ce point comme sur bien d'autres, n'est pas sortie de la barbarie.

jeanluc à écrit le 12/06/2015 à 14:32

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J'espere que le parquet va s'occuper des juges qui, pour se faire mousser dans la presse, sont prets à detruire une personne. Cela s'appelle faute professionnelle dans toute société privée. Malheureusement, ce serait connu si les juges pouvaient etre...

Politocardisale à écrit le 12/06/2015 à 14:21

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Les relaxes sont la représentation de la politocardisale.

Rudy à écrit le 12/06/2015 à 13:50

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Parce que vous pensiez qu'il aurait pu ne pas être relaxé ? Comme vous êtes naïf !

Réponse de gringo le 12/06/2015 à 17:04

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D'habitude les politiques bénéficient de non-lieu, là c'est une relaxe et c'est sans doute la preuve que cette histoire est un coup monté politique.

Réponse de @gringo le 13/06/2015 à 18:35

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"coup monté politique" a aussi été évoqué pour son affaire à New York. C'est toujours le même refrain

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Procès Carlton : Dominique Strauss-Kahn relaxé

Quel rôle dans l'affaire ?

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