Victime du syndrome de la girouette et sans doute préoccupé par ses aspirations politiques, l?homme d?affaires a annoncé mardi soir qu?il revenait dans le dossier de reprise des journaux régionaux du Groupe Hersant Médias (Nice Matin, Corse Matin et la Provence). 11 jours après avoir retiré son offre, Bernard Tapie a accepté de se repositionner à la demande de Philippe Hersant. Pressenti pour être candidat aux municipales de Marseille en 2014, Bernard Tapie se serait engagé auprès de Philipe Hersant à ne pas briguer la mairie de la cité phocéenne. Si d?aventures, il se présentait malgré tout aux municipales, Mr Tapie s?est engagé à revendre ses parts dans le quotidien marseillais, la Provence.
?J'ai accepté de réactiver la proposition que j'avais faite, dans les mêmes termes", a déclaré M. Tapie à l?AFP, précisant qu'il retirerait son offre si une autre "satisfaisante pour l'entreprise" se manifestait d'ici la fin de la période de conciliation, soit le lundi 24 décembre. (Source : AFP)
Bernard Tapie relance son offre de reprise du groupe Hersant
zavier
à écrit le 19/12/2012 à 12:05
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Affligeant !! Grâce à Sarkozy il a récupérer son pognon dû + un gros supplément. Et maintenant il veut revenir en politique. Au début il était de gauche auprès de Mittereand, puis s'est pris une branlée , il est ensuite passé centre droit pour se fa...
Affligeant !! Grâce à Sarkozy il a récupérer son pognon dû + un gros supplément. Et maintenant il veut revenir en politique. Au début il était de gauche auprès de Mittereand, puis s'est pris une branlée , il est ensuite passé centre droit pour se faire pote avec Sarko et boucler son dossier crédit Lyonnais. Maintenant qu'il a le pognon il revient en politique et ca sera quoi ? Plutôt droite forte s'il veut passer à >Nice, ou droite modérée pour Marseille. Voici donc une nouvelle girouette du monde politique ou comment changer de veste pour arriver à ses fins.
Juste un mot de plus pour tous ceux qui un moment donné l'avait enscencé, c'est lui qui a lancé dans les années 80-90 les premières fusion-acquisition ou comment se faire du pognon en rachantant une entreprise qui va mal et en la divisant en plusieurs, on licensie une partie du personnel et on revend chacune. Je lui reconnais quand même l'essor de la marque adiddas même si je connais pas le détail complet de ce point. Si c'est ca le business alors ok mais c'est pas ce qui me fait rever.
icietla
à écrit le 19/12/2012 à 9:01
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Je comprend pas qu'une personne comme lui puisse encore etre ds le business
Dans le vent
à écrit le 18/12/2012 à 23:42
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Il a raison Tapie, pour une fois l'entreprise restera française.
grisoumineur
à écrit le 18/12/2012 à 23:30
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C'est bien connu ! ce ne sont pas les girouettes qui tournent ...! c'est le vent.
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