Le taux de participation au premier tour des élections législatives en métropole atteignait 48,31% dimanche à 17H00, selon le ministère de l'Intérieur, en baisse par rapport au premier tour des législatives de 2007 à la même heure (49,28%). Comme c'est toujours le cas, la participation est largement inférieure à celle enregistrée, à 17H00, lors du premier tour de l'élection présidentielle, le 22 avril dernier (70,59%). Selon Ifop, sur l'ensemble de la journée, elle devrait atteindre 60%, soit un niveau comparable à celui de 2007.
Législatives : un peu moins de participation qu'en 2007
Ben oui forcément
à écrit le 10/06/2012 à 21:21
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un peu moins de participation qu'en 2007 : Ben oui forcément, j'y suis pas allé !!!
Pierre
à écrit le 10/06/2012 à 19:09
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Ce qui se conçoit aisément, s'énonce clairement: nous sommes malades de l'Etat. Nous avons affaire à des fous de la dette en Europe. Il existe des strates d'administration en couches les unes par dessus les autres qui nous ramènent au régime soviétiq...
Ce qui se conçoit aisément, s'énonce clairement: nous sommes malades de l'Etat. Nous avons affaire à des fous de la dette en Europe. Il existe des strates d'administration en couches les unes par dessus les autres qui nous ramènent au régime soviétique. Quand il existe des entreprises sans comptes et des syndicats mafieux, on ne parle pas de démocratie. La sécurité pour les uns et le chômage pour les autres avec les entreprises par terre. On parle de niveau de vie, ils rivalisent d'impôts et taxes! On compétitivité ils ne savent pas ce que ça signifie. La balance commerciale, c'est depuis 2003. Ils nous ont fait un Trafalgar économique!
Julien
à écrit le 10/06/2012 à 18:48
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Les français rejettent la dictature totalitaire de l'Etat et c'est plutôt sain.
najbar
à écrit le 10/06/2012 à 18:09
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tout le monde se fiche complètement des législatives, à l?exception des députés qui remettent en question leur fauteuil (et la sinécure qui y est attachée). Seuls les militants s?excitent sur les résultats putatifs de cette branlette politique dont o...
tout le monde se fiche complètement des législatives, à l?exception des députés qui remettent en question leur fauteuil (et la sinécure qui y est attachée). Seuls les militants s?excitent sur les résultats putatifs de cette branlette politique dont on sait déjà tous pertinemment qu?il ne ressortira absolument rien de bon, pauvreté des débats, des programmes et des enjeux (volontairement aux ras des pâquerette), obligent.
La fracture entre les élus et le peuple est consommée et particulièrement flagrante quand on voit que les seuls événements marquants de cette campagne furent ceux qui se sont concentrés autour de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon, autrement dit deux tenants du collectivisme avec la même capacité à éructer des arguments comme on n?en avait plus entendu depuis 60 ans au moins.
D?ailleurs, la satisfaction réelle de voir Mélenchon se prendre une sévère veste électorale sera largement tempérée par le fait que la presse n?en fera pas écho, ou de façon suffisamment sobre pour masquer le fait qu?un parti comme le Front National, qui rassemble régulièrement 15% du corps électoral, ne sera probablement pas présent à l?Assemblée Nationale, alors que celui du dit Mélenchon, qui peine à en rassembler 9% malgré les talents purement rhétoriques de son leader, n?aura aucun mal à y former un groupe complet.
A quoi bon
à écrit le 10/06/2012 à 17:28
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A quoi bon se déplacer...
Réponse de oui//oui
le 10/06/2012 à 17:42
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ils nous coutent trop cher
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