"De façon empirique, les précédents chocs pétroliers ont eu des effets visibles sur le produit intérieur brut. Les chocs liés à l'offre ont tendance à être ressentis quelques mois plus tard, tandis que l'impact des chocs touchant la demande sont habituellement perceptibles environ un an plus tard", explique l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans son rapport mensuel.
La production mondiale de pétrole a progressé pour atteindre un plus haut record de 89 millions de bpj en février, en dépit d'un recul de la production de brut par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), conséquence du conflit libyen.
L'AIE a par ailleurs jugé que le Japon disposait de suffisament de réserves de capacités dans ses centrales thermiques pour compenser les pertes d'électricité d'origine nucléaire après le séisme de vendredi.
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