Duc, Glon Sanders associé à Duc, Axereal, LDC et Tallec. Ils sont cinq groupes à avoir déposé ce vendredi avant la date limite de 9h30 des offres de reprises partielles du pôle frais du groupe volailler Doux. Ce pôle, qui regroupe les activités d'abattage, de découpe et conditionnement de la volaille vendue en rayons frais, a été placé en liquidation judiciaire le 1er août, tandis que le reste de Doux (export et produits élaborés) a vu sa période d'observation prolongée jusqu'à fin novembre. Seuls cinq sites sur les 9 qu'en compte Doux sont concernés : Clémont (Cher), Serent (Morbihan), Laval (Mayenne), Boyne (Loiret) et Amilly (Loiret), a précisé l'un des administrateurs, Sophie Gautier. Une sixième offre pourrait être déposée dans la matinée, selon elle. Elle pourrait concerner le site de Blancafort dans le Cher (244 emplois).
Pas d'offres pour deux sites importants
La casse sociale risque d'être sévère. Pour l'heure en effet, les offres préserveraient entre 450 et 500 emplois, auxquels s'ajouteraient les 134 personnes reprises à Pleucadeuc dans le plan de continuation du groupe Doux, sur un total de 1.704, selon la même source. Aucune offre n'a pas été déposée notamment avant la date limite pour deux sites importants de ce pôle frais : ceux de Graincourt (Pas-de-Calais, 253 emplois) et Blancafort (Cher, 244 emplois).
Le tribunal se prononcera sur les offres la première semaine de septembre. Pour les sites sans repreneur, le tribunal a fixé au 10 septembre la fin de la période d'activité.
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