Sortie de route pour Ferdinand Piëch (Porsche) ?

L'ex-président du conseil de surveillance de Volkswagen Ferdinand Piëch risque de perdre son siège au conseil de surveillance chez Porsche, selon presse allemande.
Ferdinand Piëch avait démissionné de la présidence de Volkswagen à la suite d'un conflit avec l'ex-président du directoire Martin Winterkorn en avril 2015

Ferdinand Piëch, l'ex-président du conseil de surveillance de Volkswagen , pourrait bien perdre son siège chez Porsche SE , rapporte le Bild am Sonntag. Les actionnaires de Porsche SE se prononceront sur la future composition du conseil de surveillance de la holding à l'occasion de l'assemblée générale annuelle du 30 mai. La liste définitive des candidats doit être bouclée d'ici la mi-avril et si Wolfgang Porsche et Hans Michel Piëch, le frère de Ferdinand, y figurent ce n'est pas le cas de ce dernier, ajoute Bild am Sonntag, citant une source proches du dossier.

Un porte-parole de Porsche SE, qui détient 52% des droits de vote de Volkswagen, a dit que la composition définitive du conseil de surveillance n'avait pas encore été décidée. Ferdinand Piëch n'était pas joignable dans l'immédiat. Il avait démissionné de la présidence de Volkswagen à la suite d'un conflit avec l'ex-président du directoire Martin Winterkorn en avril 2015. Volkswagen avait fait savoir le mois dernier qu'il étudiait des mesures à l'encontre de Ferdinand Piëch à la suite d'informations suivant lesquelles il avait accusé des membres du conseil de surveillance de n'avoir pas réagi au scandale des tests d'émissions polluantes aux Etats-Unis.

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Commentaires 3
à écrit le 13/03/2017 à 13:37
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Mégalo ? Sans doute ! Parano : peut-etre . Mais ne faut il pas l'etre à ce niveau ? Quand on voit ce qu'il a fait d'AUDI en partant d'une AUDI 50 , clone de VW Polo : on regrette infiniment qu'il n'y ait pas eu un homme de cette trempe chez Peugeot...

le 13/03/2017 à 16:01
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C'est vrai que Peugeot depuis 1980 n'a pas eu les dirigeants qu'il méritait et des choix approximatifs, depuis 1990 aucun pick-up ni 4x4, pendant 27 ans en laissant un boulevard à toyota. Et abandonner la propulsion en donnant la place à Mercédès et...

à écrit le 12/03/2017 à 19:10
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Au sein des multinationales comme au sein des Etats le silence est la Loi.

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