Après Airbus, c'est au tour d'Air France d'être mis en examen pour homicides et blessures involontaires dans l'enquête sur la catastrophe du vol Rio-Paris. Cette mesure a été notifiée à son directeur général, Pierre-Henri Gourgeon, et ses avocats par la juge d'instruction Sylvie Zimmerman, lors d'une audition au palais de justice de Paris. L'information a été confirmée par Me Fernand Garnault, l'un des défenseurs de la compagnie aérienne.
Air France comme Airbus estiment que toute recherche de responsabilité est prématurée puisqu'aucune cause de la catastrophe n'a pu être déterminée à ce jour, l'épave de l'appareil et ses enregistreurs de vols restant introuvables.
Un nouvelle campagne de recherche de l'épave de l'Airbus A330 doit commencer ces prochains jours au large du Brésil. Il s'est abîmé en mer dans la nuit du 31 mai au 1er juin 2009, emportant dans la mort 228 passagers et membres d'équipage, dont 72 Français et 59 Brésiliens.
« Quand nous mettrons le pied sur l'accélérateur, nous serons difficiles à égaler » (Joelle Pineau, directrice de la recherche en IA chez Meta)
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