PDG de OCO GlobalLes flux d'investissements directs à trav...

PDG de OCO GlobalLes flux d'investissements directs à travers l'Atlantique sont-ils affectés par la crise ? Ils avaient commencé à souffrir dès 2007, avec moins de fusions et d'acquisitions, qui constituent la façon la plus rapide de démarrer une activité à l'étranger. L'argent manquait déjà et la crise n'a fait qu'amplifier ce mouvement. Cela dit, si les flux d'investissements doivent cette année baisser de 25 % à l'échelle mondiale, selon nos projections, l'activité transatlantique devrait être relativement épargnée.Pour quelles raisons ? Les domaines dans lesquels la France est impliquée, soit en tant que bénéficiaire d'IDE soit en tant qu'investisseur aux États-Unis, sont des domaines « contra-cycliques », comme la santé et la pharmacie, les biotechnologies et l'environnement. Contrairement au Royaume-Uni, par exemple, elle n'est pas dépendante des investissements américains en matière de services financiers. Au-delà des grandes entreprises de type Saint-Gobain ou Capgemini, on voit aussi maintenant des petites, voire des très petites entreprises, partir s'installer aux États-Unis, à la recherche d'une référence internationale, d'un marché et d'un accès au capital-risque.Propos recueillis par Lysiane J. BauduMark O'Connell
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