Lors du sommet franco-allemand de Berlin, Angela Merkel a annoncé que son gouvernement allait « examiner » le cas de la fermeture de l'usine Continental de Clairvoix (Oise). La question a été abordée avec Nicolas Sarkozy et la chancelière veut vérifier qu'il n'y a pas « d'engagement qui ait été donné sans avoir été respect頻. Les 1.120 salariés du site avaient accepté en 2006 de travailler plus pour sauvegarder leurs emplois. Le groupe allemand a réagi hier aux propos de la chancelière en affirmant qu'il « ne donnait aucune garantie sur les sites et les emplois ». Il lutte pour sa survie depuis son rachat par son concurrent Schaeffler et a demandé une aide du gouvernement allemand.

latribune.fr

25 Mars 2009, 1:28

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