C'est un livre de crise. Qui arrive à point nommé. Qui s'élève vigoureusement contre le formatage des esprits mis en place pour répondre aux exigences de la croissance forcenée des entreprises à coup de sessions de " développement personnel " ou de stages de programmation neurolinguistique dans une " marchandisation de l'intime " . Alors que la crise arrive, que vient le temps du chacun pour soi, il est temps, lance dans un coup de gueule le sociologue Robert Ebguy, de se réinventer, de créer, d'épanouir son identité culturelle. Réjouissant."Je hais le développement personnel", par Robert Ebguy, Eyrolles, 214 pages, 14,9 euros.
Contre le développement personnel
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