les taux n'arrivent pas à stimuler les ménages

Le dYNAMISME de la Banque Postale dans le crédit immobilier est supérieur à celui de la plupart des acteurs. Globalement, la croissance de l'encours des prêts à l'habitat ne cesse de ralentir. En juillet, elle n'était que de 4,2 %, soit près de 10 points de moins que deux ans plus tôt, période euphorique pour l'immobilier. Pourtant, les conditions du crédit, ou au moins la partie taux d'intérêt, sont revenues à des niveaux qui n'avaient pas été atteints depuis longtemps : ainsi au 30 juin, le taux moyen s'élevait à 3,82 %, contre 5,18 % un an plus tôt. Peut-être les frémissements enregistrés par les banques en juin et juillet dans la production de crédit immobilier permettront-ils de redresser la tendance.
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