STRONG>Le Dauphiné : Ce que l'hiver nous a déjà coûté en IsèreAu 1er janvier, les services de déneigement viennois avaient déjà « consommé » l'équivalent de leurs ressources antineige utilisées lors de l'hiver 2009-2010. Tout nouvel épisode neigeux sera donc synonyme de dépassement des prévisions, et donc des enveloppes financières. Soixante tonnes de sel avaient été stockées en prévision : les services techniques viennois ont déjà utilisé 200 tonnes depuis le début de l'hiver. À 60 euros la tonne, la note s'avère déjà... salée et avoisine pour l'instant les 10.000 euros. La ville doit également payer les heures supplémentaires (800 heures pour le moment) de ses agents réquisitionnés dans les services voirie et espaces verts pour assurer le déneigement, soit jusqu'à une soixantaine de personnes engagées sur le front blanc en fonction de la gravité. Une autre dépense à venir doit également être prise en compte : celle des travaux post-hivernaux induits par les dégâts causés sur les chaussées par la neige, puis par les opérations de déneigement.Le Maine : Carburants en hausse : la colère des SarthoisLes prix à la pompe ne cessent d'augmenter, atteignant des sommets jamais vus depuis plus de deux ans. Les automobilistes s'interrogent sur les raisons de cette hausse.L'est-éclair : Le tribunal de commerce réclame 972.000 euros à un patronLa procédure est rarissime et le montant astronomique : Fabrice Devaud, patron d'une entreprise mise en liquidation en 2007, a été condamné à verser 972.000 euros pour combler le passif qu'il a laissé. Un énorme déficit que le liquidateur a découvert au fil de la procédure. Fabrice Devaud était le président de la société par actions simplifiées SPT, une société plus connue pour les deux enseignes qu'elle exploitait : Samub 10 et Therm'Equip. Il s'agissait d'une entreprise de plomberie et d'une autre de chauffage.

latribune.fr

05 Jan 2011, 23:23

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