beaucoup de candidats pour une poignée de postes

Le Premier ministre suédois, Fredrik Reinfeldt, qui préside le Conseil jusqu'au 31 décembre, s'est lancé cette semaine dans un second tour des capitales européennes pour boucler les nominations du président du Conseil et du haut représentant. Le simple fait d'appeler ses 26 homologues au téléphone lui prend la bagatelle de deux jours? « Il y a beaucoup de candidats pour peu de postes », a-t-il déclaré mercredi à Bruxelles. Pour tenter de desserrer l'étau, il a mis un troisième poste dans la balance : celui de secrétaire général du Conseil, qui est historiquement occupé par un Français. Comme pour signaler à la France qu'elle n'était déjà pas si mal lotie, analyse-t-on à Bruxelles. Officiellement, la succession de Jean-Claude Juncker n'est pas sur la table?
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