Quelle bête ce Nikon ! Avec ce joujou entre les mains, on se prend vite pour un grand photo reporter. En fait de grand reportage, je me suis replié dans mon salon samedi pour cueillir à chaud l'émotion de ma fille fêtant son 11e anniversaire au rythme endiablé du moteur cadencé à 7 images/seconde et d'un autofocus jamais pris à défaut. La sensibilité à fleur de peau du D300s (de 200 à 3.200 ISO) s'exprime aussi dans les éclairages difficiles comme un gâteau d'anniversaire couvert de bougies pour toute source lumineuse? Il en faut plus pour décourager ce Nikon qui saisit le sourire de mon Ariane devant son gâteau façon Vermeer? Difficile de prendre en défaut cette belle mécanique, qui cependant pèse son poids. Le D300S s'adresse à un public très averti, voire semi-professionnel. C'est une version dérivée du D300 qui intègre en plus la vidéo en mode HD et une entrée micro stéréo. Il offre 12,3 mégapixels de résolution, reconnaît les cartes mémoires SD et offre une large palette d'outils de retouche. Laurent PericoneLe boîtier nu : 1.700 euros. testNikon D300 S

latribune.fr

17 Oct 2009, 1:39

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