Le patron d'Alcatel-Lucent se félicite de l'évolution des affaires de son groupe sur le marché chinois. « Notre part de marché en téléphonie mobile de troisième génération est supérieure à celle de nos opérations en 2G », explique Ben Verwaayen. Arrivé il y a tout juste un an à la tête de l'équipementier télécoms, le manager hollandais se montre confiant : « Le fait de travailler avec l'équipementier Datang nous apporte un avantage technologique en vue de la 4G. » Le groupe a entrepris une réorganisation afin que les 4.000 ingénieurs de la société chinoise Alcatel Shanghai Bell travaillent en meilleure coordination avec les autres pays. L'un des objectifs est de devenir plus réactif aux besoins des clients. « La vitesse n'est pas dans notre ADN, nous sommes plutôt intellectuels », déplore-t-il. Page 12

latribune.fr

18 Sept 2009, 1:54

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