La ligne de défense de Vivendi dans son procès à New York

Dans un entretien à « La Tribune », les avocats du groupe exposent leur stratégie. Elle tient en trois points : Vivendi n'a connu qu'un risque de liquidité en juillet 2002, pas une crise ; le montant de l'indemnisation des actionnaires est très difficile à calculer ; les actionnaires français doivent être exclus de cette action en nom collectif. Et ils rappellent que, selon la jurisprudence en vigueur aux États-Unis, des groupes, comme Alstom, sont parvenus à exclure des actionnaires français de class actions. PAGE 12
Commentaire 0

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

Il n'y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.