Lundi 24 octobre, le Premier ministre belge Charles Michel a dû annoncer que son pays n'était « pas en état de signer » l'accord de libre échange entre l'Union européenne et le Canada, le CETA, en raison de l'opposition du Parlement de la Wallonie, appuyée par la région de Bruxelles. Le veto wallon remet en question les rouages d'une machine européenne, également enrayée par les désaccords nés du Brexit, entre l'Écosse et le Royaume-Uni. Comme se le serait demandé il y a plus de 30 ans l'ancien ministre américain des affaires étrangères, Henry Kissinger, qui faut-il appeler en Europe en cas de besoin ?
Pour en parler, Jean-Louis Bourlanges, ancien député européen, Jurek Kuczkiewiz, journaliste au Soir, spécialiste des affaires européennes, et Anne Boissel, vice-présidente du parti Debout la France.
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