Pour Romaric Godin, notre correspondant à Francfort, l'Allemagne, "rassurée grâce aux attaques françaises sur les vertus de ses choix, entend ne pas céder à la puissance de la misère". Alors que pour le correspondant à Paris du premier quotidien économique allemand, Handelsblatt, Holger Alich, "mieux vaudrait trouver une astuce pour convaincre les Allemands qu'il ne faut pas laisser au FMI le soin de gérer le problème grec." A vous de choisir.
Querelle franco-allemande : analyses croisées de deux correspondants
Terry31
à écrit le 19/03/2010 à 16:46
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C'est l'heure de vérité pour l'UE. Ca passe ou ça casse. Etant donné que la Grande Crise n'en est qu'à ses débuts, j'opterais pour la seconde hypothèse. Ce n'est qu'une question de temps.
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