
Elle grimpe, elle grimpe… la dette publique française. L'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) indique ce vendredi que l'endettement de la France a augmenté de 41,9 milliards d'euros au deuxième trimestre 2013 et atteignait 93,4% du Produit Intérieur Brut (PIB) fin juin soit 1912,2 milliards d'euros.
Pour rappel, entre le quatrième trimestre 2012 et le premier de 2013, la dette publique avait crû de 36,5 milliards d'euros…. Elle représentait alors 91,7% du PIB. A fin mars, la dette publique française s'établissait à 1870,3 milliards d'euros.
+18,1 milliards d'euros de dette nette des administrations
La dette publique nette, elle, croît plus modérément (+18,1 milliards d'euros). Outre la dette de l'État, la dette publique au sens de Maastricht inclut celles des administrations de sécurité sociale (213,6 milliards fin juin), des administrations publiques locales (169,7 milliards) et des organismes divers d'administration centrale (9,9 milliards).
La dette nette des administrations publiques s'élevait à 1.715,2 milliards d'euros fin juin, soit 83,7% du PIB, contre 83,3% au premier trimestre, en progression de 18,1 milliards sur trois mois, ajoute l'Insee.
L'Institut explique l'augmentation de la dette publique par la hausse de l'endettement de l'Etat. "La contribution de l'État à la dette augmente de 41,8 milliards d'euros au deuxième trimestre ; il s'agit pour l'essentiel de sa dette négociable à long terme (+33,7 milliards d'euros) et à court terme (+4,4 milliards d'euros). En outre, 4,8 milliards d'euros de prêts à long terme accordés aux pays de la zone euro par le FESF (Fonds européen de stabilité financière, ndlr) sont intégrés à la dette de l'État" détaille l'Insee.
La dette des administrations publiques locales, des administrations de sécurité sociale et des organismes divers d'administration centrale (Odac)est en revanche jugée stable.
Les détails sont disponibles sur le site de l'Insee.
vous dites il est vrais : il faut écrire il est vrai
vous dites il renvoi : il faut écrire il renvoie
Si vous n'êtes pas d'origine française je vous pardonne sinon c'est impardonnable et avant de poster des commentaires il faut d'abord aller à l'école.
A) http://www.presseurop.eu/fr/content/news-brief/981331-l-enorme-dette-cachee-de-l-allemagne.
oc
1° que les actifs intervenant dans réalisation des outils de productions ou , dans la production des biens et des services que ce soit dans le privé ou le public, sont les seuls à produire les besoins destinés à satisfaire des actifs et des inactifs.
2° Que tout actif a été ou sera inactifs certaines périodes de sa vie ce qui fait que tout actif est solidaire des inactifs en produisant pour eux leurs besoins ludique ou matériels.
3° que la monnaie n?est pas un but mais un moyen de faire ce partage entre actif et inactif pour que les 100% de biens et services produits par les seuls actifs soient partagé à raison de 40% pour les actifs et 60% pour les inactifs.
4° Que la monnaie n?est pas un but mais un moyen qui par des taxes des impôts et des charges servent à partager 100% des biens et services produits par les seuls actifs à raison de 55% pour des usages individuel familial, 13% pour des usages individuel familial mutualisé et les 32% restant pour des usages collectifs.
Bien sur on peut ne pas être d?accord sur les taux mais sur le principe êtes vous capable d?argumenter que mes 4 argumentations sont fausses ?
A défaut nous avons un consensus capable de démontrer d?autres réalités qui font que vos idéologies sont nocives pour la nation et la cause de la dette.
Etes vous prête à relever ce défit, vous qui n?êtes pas ignorante et cela ne doit pas vous être trop difficile si cela est l?est pour moi (d?après vous).
Ne confondez pas ?réalité- avec ?ressentiment-.
Si c'est le cas voici ma réponse
Ce qui nous différencie c?est que l?un croit que: « ceux qui profitent de la situation ne veulent pas que cela change » avec cette affirmation il ne peut y avoir un consensus puisque « ceux là » ne maitrisent pas les pouvoirs de décisions et ne font que profiter de l?absence de consensus entre droite et gauche qui leur fait faire des conneries.
Vous vous interroger sur les solutions à prendre : elle existe mais avant cela il faut s?entendre sur un consensus.
A mon avis vous n?êtes pas allé lire les commentaires cité : celui de Angela (et les réponses) qui a jeté l?éponge et celui qu?Unci TOÏ-YEN a fait le 27 à 12h 41.
Vous y trouverez un début de réponse à votre légitime interrogation.
Imaginez un instant cette petite histoire, un chariot avec dedans les cochers, (les élus de tous poils), et juste assis derrière dans cette charrette, les passagers, (les fonctionnaires), toute cette belle brochette est tirée par les forçats, (les salariés du privés), mais voilà!, jusqu'à présent le chariot roulait sur un chemin bien roulant, bien sec et bien encaissé, mais sur le parcours notre attelage dirigé par de piètres phaétons, s'est égaré de son chemin, perdu et enlisé, provoquant bientôt le figeage sur place de cette charrette trop chargée d'immobilistes, trop assis confortablement, personne ne voulu descendre du chariot pour soulager les efforts des forçats qui pourtant tentaient le tout pour le tout en redoublant d'efforts pour tirer la charrette de ce mauvais passage sous les vociférations des passagers et des coups de fouet des cochers. L'histoire se termina ainsi, un attelage étranger, de passage à proximité (du reste très peu chargé et avec beaucoup de personnes pour le tirer à vive allure), vint en aide à nos infortunés voyageurs, les fit tous descendre sans exception de la charrette, obligeants ces derniers à pousser le chariot jusqu'au retour normal de roulage de notre misérable attelage.
Même au temps de la royauté, les nobles n'auraient jamais osé se comporter vis à vis du peuple comme le fait aujourd'hui les "élites" oligarchiques.
Quelle dette avec le FN?, si vous avez lu le programme FN comme vous le dites, vous vous seriez aperçu que le mouvement national est pour une patrie souveraine!.
Les dettes sont une invention de l'UMPS pour mettre la France dans le giron mondialiste et asservir et paupériser son peuple!.
les casseurs et les endetteurs devront êtres les payeurs!.
Je sais que certaines vérités ne sont pas toujours bonnes à entendre, mais jamais et à aucun moment le mouvement national n'a fait alliance ou appelé à voter à gauche, ni même d'ailleurs ce que vous appelez la droite (assemblage hétéroclite de gauchos radicalos centristes appelé UMP)!.
Prétendre le contraire, c'est être de mauvaise foi!, c'est toujours l'UMP qui à chaque élection appelle à faire barrage au FN, avec leur fameux pacte républicain!.
UMP+PS= UMPS, même politique, c'est bonnet blanc et blanc bonnet!.
Au besoin, on prendra dans les poches en inventant des loyers fictifs et autres fariboles.
"In absoluten Zahlen heißt das: Zu den 1,7 Billionen Euro offizieller Schuld kommen rund 5 Billionen Euro verdeckte Verschuldung hinzu."
Ils l'ont changé, et voila le travail !
les gauchistes en pleine action !
le pire c'est pour les gens de droite qui ont vu le système changer sans pouvoir rien faire, même en votant a droite, un comble !
creuser la dette de 6OO milliards d'euros dont 4OO lui sont imputable. Nos iles tropicables
la présence d'un e armée hors de France il n'y a pas seulement le Mali, et l'Afghanistan Djibouti etc les retraités français au Maroc exonérés d e pas mal d'impôts et bientôt au
Portugal NON nous pouvons être courageux...... à en mourir, et puis il y a notre gouvernement
qui n'est pas à la hauteur.....pourrait mieux faire
en voici un exemple de votre gauche http://www.francepresseinfos.com/2013/03/madone-des-sans-papiers-duflot-les-loge.html et un autre ici http://www.dreuz.info/2013/09/audio-cecile-duflot-fixe-les-limites-de-ce-dont-les-francais-ont-le-droit-de-debattre/ et encore ici http://www.dreuz.info/2013/09/ce-que-cachent-les-82-milliards-deuros-de-deficit-de-la-loi-de-finances-2014/ et j arrete car je n aurais pas assez de place
eeeeeeeeeeet voui...!
Moi je vais aller en Algérie à ma retraite comme ça mes enfants et petits enfants en profiteront..............de ma retraite
> > Savez-vous que l?on vit plus vieux en Algérie que partout ailleurs dans le monde ?
c est l?intéressante découverte faite par la Cour des comptes qui, en épluchant les comptes de la CNAV (caisse nationale d?assurances vieillesse), l?organisme qui paye les retraites a constaté que le nombre de retraités centenaires algériens (plus de 50.000) était particulièrement important.
Ce nombre est même très très supérieur au total des centenaires recensés par l?état-civil en Algérie.
Rolande Ruellan, présidente de la 6ème chambre de la Cour des comptes qui a présenté le 9 juillet dernier un rapport sur la fraude sociale devant une commission parlementaire reconnait le problème (document que chacun peut consulter pour vérifier cette info) :
> >
> > « Il y a des retraités qui ne meurent plus dans les pays étrangers » dit-elle, insistant, en particulier, sur le nombre de retraités centenaires algériens.
Pourquoi ? Comment ? C?est ce qu?a tenté de savoir la commission.
« Il suffit de ne pas déclarer à la caisse de retraite le décès de l?ayant-droit » précise la magistrat.
« Mais il n?y a pas de contrôle ? » s?étonne un membre de la commission.
« En Algérie nous n?en avons pas les moyens. Il faudrait mettre des contrôleurs itinérants dans tous les pays. Ce n?est pas évident ! » , souligne-t-elle.
En résumé clair : les algériens binationaux, ayant travaillé en France deviennent immortels à partir du moment où ils se retirent en Algérie pour leur retraite.
Ce sont leurs enfants, voire leurs petits-enfants qui continuent à percevoir la pension de retraite, bien après leur décès. Et il ne faut évidemment pas compter sur les autorités algériennes pour faire la chasse aux fraudeurs.
> > On peut s?étonner, tout de même, qu?un organisme comme la CNAV qui verse chaque année 4 milliards d?euros de retraite à l?étranger, dont plus d'1 milliard pour l?Algérie, ne soit pas en mesure d?effectuer un minimum de vérifications :
- soit en demandant, tous les deux ans par exemple, aux bénéficiaires de donner une preuve de leur existence - comme cela se fait en France pour les professions libérales, notamment.
- soit, en les invitant à se présenter dans les consulats de France pour percevoir leurs pensions (plus compliqué peut-être? Mais après tout pour percevoir la pension rien n'est impossible... surtout pour leurs enfants qui ne manquerons pas d'accompagner leurs vieux... pour récupérer une partie de la pension due et perçue....normalement).
alors que le dossier des retraites est au c?ur des préoccupations des Français, il serait bon que nos gouvernants se penchent aussi sur cette question... ne pensez-vous pas...
Et qu'en pensent les "braves" syndicats... Là, ils n'ont pas réagi... on ne les a pas entendus...
Quand on vous dit que les syndicats... ou les élus responsables nous prennent pour des IMBÉCILES !
En attendant une réaction qui ne viendra peut être jamais.
LES CENTENAIRES ALGÉRIENS, C'EST UNE PERFORMANCE A SALUER... Qui sait peut être qu'un jour un politique couillu politiquement incorrect révisera la distribution de notre pognon..
La gestion vue par les moins nuls .
STERILES ou VASECTOMIES , certains ne veulent pas l'admettre .!
Taux de croissance : 0,4 %
Taux d'inflation : 0,9 %
Taux de croissance en valeur : 0,4 % + 0,9 % = 1,3 %
Le taux d'intérêt (2,43 %) étant supérieur au taux de croissance en valeur (1,3%), le taux d'endettement de la France ne peut que croître même avec un solde primaire nul (dépenses = recettes avant paiement des intérêts de la dette).
Source : http://www.lemonde.fr/idees/chronique/2012/01/20/sur-la-dette-publique-la-gauche-moins-mauvaise-gestionnaire-que-la-droite_1632201_3232.html
- réforme du mille feuille administratif, avec mise sous tutelle d'office d'une collectivité dépassant un pourcentage d'endettement
- réforme fusion de certains corps de l'Etat qui réalisent des missions similaires ( Gendarmerie /Police= gestion administrative unique, chaine de commandement unique, etc.)
- refonte /suppression de certains codes : exemple une amende infligée pour une contravention ou un délit doit recouvrir au minimum les frais de dossiers qu'à engendré la constatation
- réforme carcérale : une cellule de base sans TV par exemple , pour le supplément le détenu devra payer un forfait jour. Pour les condamnés irrécupérables prison à ciel ouvert sur l'Ile du Diable ( réouverture des bagnes).
- réforme des aides sociales : allocation chômage plus dégressive soumise à des preuves probantes de recherche d'emploi ou de formations.
- stricte surveillance des aides aux entreprises pour être sûr que l'argent public ne va pas en dehors de l'économie réelle et va bien dans de l'investissement source de la croissance de demain.
- réforme constitutionnelle : un fonctionnaire élu est automatiquement rayer des cadres sans pensions, suppression du département, conseil régionaux élus au 2/3 par suffrage universel direct, 1/3 par les maires dans les régions, sénat élu uniquement au suffrage universel direct à la proportionnelle.
- instauration de quotas dans la politique migratoire
et tant d'autres que j'oublie....
Quand le franc etait un bien public, l'état du général de gaulle ne payait pas d?intérêt.
De toute façon, si l"était payait un intérêt, la recette lui revenait et annulait la dépense.
L'euro est une arnaque.
Un bien public veut dire. Que la création monétaire n'est pas le droit exclusif du privé. Mais que les états démocratique peuvent créer de l'argent ex nihilo, comme les montagnes d'argent-dette créées à partir de rien, par jeu d'écriture comptable chaque année
Donc le jour ou l'etat decide de ne plus payer les intéret, la dépense de l'etat devra instantanément baisser de 27.58%... Sachant qu'on arrive pas à la baisser ne serait ce que de 1%, vous seriez gentil de nous expliquer votre stratégie.
Le Franc a été privatisé en 1973, bien avant EDF, ou d'autres vaches à lait.
Si la banque de france regere le franc, elle pretera à 0% a l'état. Pas besoin d'emprunter a d'autres sur les marchés.
L'argent qui est prété aux états n'existe pas il est créé ex nihilo.
Autant faire que la banque de france créé a partir de rien la monnaie, et prete à 0 % a l'état (comme avant 1973). ca ne genere pas d'inflation, si l'etat rembourse a la bnque de france.
Actuellement, La quantité d'argent dans le systeme croit plus vite les créations de richesse. Mais il n'y a pas d'inflation, car c'est de l'argent-dette qui est créé. Le citoyen est de plus en plus endetté via l'état. Il est un esclave du système financier qui s'ignore.
L'euro n'est pas controlé par les états. Un état a moins de droit qu'une banque. Et ne peut se financer auprès de la banque centrale.
Je préfére une création monétaire publique. Et une monnaie qui dévisse si l'état fait trop tourner la planche a billet. plutot qu'un euro fort et des intérêts à payer à l'oligarchie financière.
Avec une création monétaire publique, il n'y a plus d?intérêts à verser à une caste oligarchique financiere. Ces interet 60 millards chaque, n'est autre que la privatisation de la collecte d'impot. Une sorte dividende payé aux actionnaires de l'état français privatisé.
La dette monte, monte. Les intérêts de la dette constitue aujourd'hui le premier poste de dépense du gouvernement. Nous allons avoir une crise majeure de la dette dès que les taux d' intérêt augmenteront.
A quand la restructuration du millefeuille administratif Français ? Nous sommes surreprésentés (au parlement, au sénat, dans les régions, départements, mairies,etc...) par des élus politiques franc-maçons UMPS qui vivent sur le dos du peuple. Quand la dynastie UMPS va t' elle se terminer ?
Le problème est leur non prise en compte!
Le président peut être élu avec 2 voix, s'il n'y a que 3 bulletins exprimés!!
Les blancs doivent être considérés comme exprimés.
Comme ça, il n'y aurait plus d'élus avec 15% des électeurs.
Actuellement, on est obligé de choisir quelqu'un, même si personne ne convient, sinon notre vote ne compte pas! D'où un choix draconien entre deux pitres, égaux dans la nullité!
Tant qu'un des candidats ne plait pas à une majorité de votants, personne n'est élu, et on recommence jusqu'à ce que ça se déploque.
Les candidats seraient obliger d'avoir de vraies convictions et d'être honnêtes!
Si personne ne semble décidé à s'engager dans une révolution de rue, qui est, en l'état actuelle des choses, la seule solution pour se faire entendre, le combat des bulletins blancs est une véritable révolution pacifique,et tout aussi efficace, mais sans heurts et sans violence!
C'est ce combat qu'il faut mener!
Et pour cause:
1 vote (UMP) = 1 vote
1 vote (PS) = 1 vote
1 vote (autre) = 0,1 vote
1 vote (blanc) = 0 vote
L' UMPS qui dirige la France depuis 40 ans veut rester au pouvoir coute que coute (ils vivent bien, s'enrichissent et peuvent profiter de tout sans risquer la prison).
Ce budget programme ! Donc, prend la décision d?avoir un budget où les dépenses dépassent les recettes comme c?était l?an dernier, mais avec 35 milliards de plus que les prévisions faites lors de l?établissement du budget de 2013 qui tablait sur un déficit de 48,6 milliards en 2014, et nous : nous laissons faire. Ce serait la fatalité. Quand tordrons-nous le cou à la fatalité ?
Quand nous, comme nos deux joyeux compères au cordon de la bourse, comprendrons :
1° qu?il n?y a pas ? d?évolution «naturelle» des dépenses ? qui servirait de référence à une économie : et
2° que l?Etat n?est pas en déficit mais c?est la nation. Pourquoi ? Parce qu?elle ne travaille pas assez :
- pour ne pas avoir de déficit de la balance commerciale, payé avec des euros produits chez nous,
- pour payer les intérêts des emprunts détenus au deux tiers par des étrangers, avec des euros produits chez nous,
- pour payer les aides faites au Etats étrangers et les aides faites aux familles étrangères, payé aussi par des euros produits chez nous.
Ces euros, en fuyant à l?étranger, ne permettent plus de payer nos dépenses collectives ou mutualisées dont la production est à l?origine de l?existence de ces euros, ce qui oblige l?Etat à emprunter.
Il faut alors être un abruti pour ne pas comprendre que par la fiscalité ces trois causes de fuites d?euros hors de nos frontières vont cesser, d?autant que la fiscalité pèse :
- soit sur nos productions (impôts sur les consommations) : ces dernières ne sont plus attractives et celles d?ailleurs plus alléchantes ce qui creuse le déficit,
- soit par l?impôt direct (impôt sur le revenu) qui prive à des consommateurs l?acquisition de nos productions, ce qui crée du chômage et un déficit social pour pouvoir payer ce chômeur, et en plus supprime les cotisations sociales et les impôts directs qui étaient basés sur le salaire, de celui devenu chômeur, creusant ainsi un nouveau déficit des caisses sociales et des caisses de l?Etat. Résultat : plus 35 milliards.
Vous savez maintenant pourquoi nos ravis de Bercy comme ceux du « bébet show » sont confiant. Ils espèrent qu?avec 35 milliards de plus de déficit budgétisé en 2014, ils vont réduire le déficit 2015. Si vous êtes vous aussi autant dépourvus que nos ravis, au point de rendre responsable de notre situation la fatalité ou des boucs émissaires : lisez « Galilée récidive » pour comprendre notre réalité et y trouverez les moyens de réagir.
Faux : c'est un problème de concurrence déloyale du à l'ouverture des frontières et à lalibre concurrence, qui a fait que nos produits sont devenus trop chers et le chômage est apparu avec une baisse de production.
" Travaille pas assez" n'est pas la cause mains un effet d'une politique économique mondialiste imbécile.
Toute votre analyse est fausse.
Chômage qui grossit au fur et à mesure que nos entreprises coulent.
Si vous ne comprenez pas ça , ne venez pas parler d'économie.
Supprimez ces 500 000 postes, après
que faites vous de ces 500 000 personnes?
Que deviendront leurs familles.
Ces 500 000 personnes dépensent leur salaire, font vivre des commerces, des entreprises, payent leur crédits pour voiture, habitation....
Pensez vous à ces dégâts collatéraux immédiats.
Par contre, je schématise : nous reprenons le contrôle de nos frontières, taxons les importations, ces taxes rentrent dans la caisse de l'état, c'est une bonne chose mais mieux les entreprises Françaises redeviennent compétitives , au moins sur le marché Français, elle ré embauchent ...et là on peut se permettre de diminuer progressivement et proportionnellement le nombre de fonctionnaires sans provoquer des dégâts économiques.
La taxation des importations est une solution, mais pas la meilleure.
Il y a mieux, le moyen de concurrencer toutes les industries du monde en changeant notre système économique intérieur, mais personne en France n'est prêt à ça en France. Le crâne rempli de contre vérités économiques, le Français est bourré de faux préjugés.
Je reviens sur votre affirmation : la nation ne travaille pas assez : c'est bien sur vrai : mais faut-il encore donner du travail au citoyen, et pas un faux travail sous la forme d'un poste de fonctionnaire inutile voire anti économique.
Le vrai travail c'est celui qui participe à la production de richesses, celui qui permet de fournir ce dont nous avons besoin,, celui qui permet d'exporter suffisamment pour pouvoir acheter, sans mettre notre balance commerciale en déficit. Il faut un minimum de fonctionnaires, c'est un mal nécessaire. Il faut surtout que ce soit le politique qui décide et non le fonctionnaire. Ors nous sommes dirigés par les fonctionnaires de la commission de Bruxelles, qui ont pris le pouvoir.
Un pays qui veut avoir une bonne santé économique doit exporter plus qu'il n'importe.
NI la gauche, ni la droite ne remettent en cause les chois Euiro-mondialistes de Bruxelles.
A croire qu'ils ne comprennent rien à la politique, , ils ne comprennent rien à l'économie, ils ne cherchent qu'à faire des rééquilibrages comptables. Comme vous .
Etre pragmatique ce n?est pas s?opposer sur : qui de la poule ou de l??uf à commencer. Etre pragmatique c?est de savoir changer un jour de vision et entre la vérité apprise par des dogmes religieux : le soleil tourne autour de la terre et la démonstration de Galilée : la terre tourne sur elle-même, faire le bon choix.
Galilée dans « Galilée récidive » nous dit que la mondialisation n?a pas existence, seule les nations existent et c?est seulement par les mesures qu?elles prennent qu?elle subissent plus ou moins la pression des autres et favorise ou refoule les créations d?emplois permettant à des actifs de produire des biens et des services que se partageront les citoyens de la nation qu?ils soient actifs ou inactifs. L?essentiel est là et c?est vers cette vision que vous devez aller car : dans une nation au plus d?actifs produiront en nombre et en temps des biens et des services au plus nous aurons à nous partager (pouvoir d?achat) que l?on soit actifs, enfants retraités, malades ou handicapés. Cette vision émise : je vous mets au défit de démontrer que c?est faux.
Pour arriver à ce but doit on faire confiance à des scientifiques ou à des énarques qui en entrant dans cette institution sont de droite ou de gauche et en sorte incapables de trouver des consensus, ils sont restés fidèles à leurs dogmes de droite ou de gauche.
Si cette vision n?est pas partagée par une majorité, c?est que cette majorité, nous dit Galilée dans « Galilée récidive », à une vision imaginaire de notre vie sociétale. Cette majorité n?a pas conscience que la notion de la redistribution de la richesse qu?elle pratique est une idéologie et que la réalité est plus simple.
Il nous dit que la richesse à deux composante une réelle une imaginaire, comme les nombre complexe en mathématique.
La richesse réelle est celle qui est constituée par tous les biens et les services produits par nos actifs.
La richesse imaginaire est constituée par les valeurs données à ces biens et services. Etre pragmatique c?est comprendre que cette valeur qui constitue notre richesse imaginaire ne peut exister sans que n?existe la richesse réelle nos biens et services que nous allons nous partager.
Donc : dans la réalité nous ne redistribuons pas la richesse, mais nous partageons la richesse réelle produite par nos actifs et la richesse imaginaire, la valeur donnée aux choses, n?est que le moyen de procéder à ce partage des biens entre les actifs eux mêmes mais aussi entre les inactifs. Ce qui fait que l?actif à un devoir de solidarité envers l?inactifs parce que il a été ou sera inactifs pendant certaines périodes de sa vie.
Cette vision réaliste n?est pas partagée. Une majorité de citoyen imagine vivre dans une société des droits acquis par les inactifs. Nous sommes au même niveau que l?opposition entre le soleil qui tourne autour de la terre et la terre qui tourne sur elle-même.
Il faut bien comprendre que suivant la vision adopté il est privilégié, dans un cas, la production des richesses à se partager et, dans l?autre, la redistribution sous forme de droits acquis des charges et impôts prélever soit sur la consommation soit sur les revenues soit aussi sur les entreprises alors que celles-ci ne font que collecter pour autrui ce que les usagers ou consommateurs de leur productions payent.
Dans ces conditions il est simple de comprendre que ces charges et impôts affectent la valeur (la richesse imaginaire) des biens et des produits par les seuls actifs (la richesse réelles) qui en finalités ont été produit pour être partagé entre les actifs et les inactifs. Etre pragmatique consiste donc à dire : puisque les actifs produisent tous les biens et les services que nous nous partageons : il suffit que ces actifs partagent dans les mêmes proportions leur valeur de production avec les inactifs pour qu?ils puissent user ou consommer la part de richesse réelles qui leurs revient et l?autre partie est partagé entre les inactifs équitablement.
Ce choix (trop simpliste) n?a pas été fait si bien que la valeur donnée en récompense à nos actifs et seuls producteurs de richesse réelle ou imaginaire, n?est pas le prix de production du bien ou du service, mais un prix majoré pour pouvoir avec la majoration faire ce partage entre actif et inactifs.
Etre pragmatique c?est comprendre que la valeur de la chose que nous allons exporter n?est pas celle de sa production (échanges de biens et de service entre nation) mais un prix pollué par un système mathématique imaginé à partir des droits acquits qui consiste à faire payer aux étrangers notre modèle social, c'est-à-dire la consommation de nos retraités par exemple. Dans ces conditions notre déficit de la balance commerciale et notre manque de compétitivité n?est pas un problème de productivité mais un problème des mathématiques retenues par nos gouvernances pour procéder au partage des biens et des services antre actifs et inactifs. Ce n?est pas la seule erreur mathématique que nous faisons dans les nations.
Notre vie sociétale se réduit à deux types de partages celui que nous venons d?évoquer le partage entre actifs et inactifs, de 100% des biens et services produits mais aussi celui du partage de ces 100% de biens et services produits en usage soit individuel soit mutualisé soit collectif.
Etre pragmatique c?est de demander respectivement aux actifs et inactifs, à partir du partage de la richesse imaginaire, de payer sa côte part. Ce n?est pas fait et là encore : en ajoutant charges et impôts au prix de la chose, quand nous exportons nos produits nous faisons payer aux étrangers nos dépenses de santé et nos dépenses collectives. Là encore nos problèmes ne sont pas notre capacité productive mais une erreur mathématique structurelle quand il faux déterminer la valeur de la chose. Résultat la partie imaginaire de notre richesse nationale réelle est une élucubration issue de l?idéologie marxiste avec la bénédiction de la civilisation judéo chrétienne qui a, elle aussi, horreur des riches et de la finance.
C?est cette élucubration décidée depuis des générations et enseignée par notre éducation nationale qui est cause de notre régression économique.
Quand le franc etait un bien public, l'état du général de gaulle ne payait pas d?intérêt.
De toute façon, si l"était payait un intérêt, la recette lui revenait et annulait la dépense.
L'euro est une arnaque.
Il ne reste rien après ces dépenses. L'État doit donc emprunter plus de 200 milliards par an pour boucler le budget. Il est temps d'économiser et de mieux contrôler. Inutile d'attendre dans les deux ans à venir, une croissance suffisante qui permettrait d'équilibrer les comptes.
Si la France fait defaut c'est immédiatement reduction automatiques de 30% des depenses de l'etat. Salaires / RBT maladie/ retraites privèes. et blocage de l'epargne des Francais! Vivement un defaut de la france !
De plus, il faut que l'état maitrise la création monétaire et non la laisser au secteur privé. Ainsi nous économiserons 40 milliards/an (jusqu'ici), soit tout notre impôt que le revenu, qui là encore part dans la spéculation et n'est pas réinvesti en France. La finance a été incapable de voir la crise arrivée, les agences de notations donnaient exactement la même note à toutes les dettes publiques avant la crise, par conséquent leurs prévisions sont totalement erronées et n'ont rien d'objectif, l'état ferait beaucoup mieux et surtout pour beaucoup moins cher.
- soit on efface tout, on spolie nos créanciers (les BRIC en tête) et on repart à 0 -> plus aucune crédibilité sur les marchés de la dette d'Etat et effondrement de la croissance mondiale
- soit on accepte cela comme une situation normale, après tout la plupart des gens vivent au dessus de leurs moyens
- soit on change de modèle et on ne cherche plus à accroitre le niveau de richesse à tout prix mais le niveau de vie
le seul but de cet article montrant l'augmentation du niveau de la dette est de nous faire accepter les augmentations d'impôts et la précarisation.
Il est encore moins compréhensible, pourquoi la France a toujours un très important déficit et augmente encore la dette. C'est vraiment un équipe de nul au pouvoir!!!!!!
Elle est passée par ici,
Elle repassera par là,
Elle monte, elle monte la dette publique
La dette publique du bois joli
Merci à Latribune.fr pour ces titres si poètiques.
Oui mais c'est compensé par des charges élevées de TIPP...
La dette n'augmenterait plus si les pays européens arrêtaient la concurrence déloyale faite à la france sur le salaire des français.
Je prouve ce que j'avance!
allez voir http://risiq.com/index.php/content/customer-care-agent-fluent-germanfrench-permanent-role
Un travail de responsable client parlant Français en CDI à pourvoir en Allemagne. La société qui recherche est Bulgare
Salaire de- 650? brut par mois!!!
Réveillez-vous!! c'est la réalité
La preuve que la stratégie keynesienne du gouvernement repose sur une théorie fausse.
Pour information, je lis tous les économistes et pas seulement les keynésiens, ça évitera les commentaires me traitant de sale keynésien ;), vu que depuis les années 70 nous sommes dans un système de pensée unique. Mais c'est vrai l'économie est bien plus florissante dans tous les pays de l'OCDE depuis que les idées néo-classiques sont appliquées partout. Merci Milton ;)
Ces politiques sont inneficaces ? Ah Bon, l'URSS n'a pas fait faillite ? La crise financière actuelle est liée à l'intervention désordonnées des banques centrales inféodés à l'état, comme l'avait si bien démontré Friedman, d'où la crise actuelle? Un marché s'auto régule parfaitement, cela s'appelle un prix, il vous faut revenir à la base du raisonnement économique. Parcequ'à 57 % dušPIB, l'état n'est pas assez fort ? il vous faut l'URSS, la corée du nord ou Cuba ? ils sont tant que cela plus heureux que nous ??? lecapital 'nest pas l'ennemi du travial, enlevez vos lunettes marxistes ... La pression salariale ? vosu nous ressortez la loi d'airain des salaires qui est fausse .... le monde n'a jamais été aussi riche, il n'y a jmaais eu si peu de pauvres alors que n'ous n'avons jamais été aussi nombreux, c'est cela la réalité, que vous ne voulez pas voir ... l'amérique latine, le venezuela vous voulez dire ? regardez donc dans quel état ils sont, alors que c'est l'un des premiers producteurs de pétrole mondial ... et regardez le chili ... ouvrez les yeux ... le socialisme, l'étatisme, cela ne peut pas marcher ...
Si manipulation monétaire il y a, elle est davantage le fait des États-Unis, du Japon, de la Grande-Bretagne, de la Chine... et des Brics en général.
En l'occurrence, la seule manipulation monétaire actuelle au sein de notre vieux continent se fait par le maintient d'une monnaie surévaluée dans un continent sinistré. Et sur ce point nous sommes d'une certaine façon dans les excès liés à une politique économique qui sert essentiellement notre plus grand partenaire commercial au détriment du reste de l'Europe. N'importe quelle économie dans notre situation aurait dû voir la valeur de sa monnaie naturellement réduite.
je suis d'accord avec vous, Friedman est contre la manipulation monétaire mais les monétaristes se sont focalisés sur les dévaluations beaucoup plus que sur la surévaluation monétaire, ce qui fait qu'aujourd'hui nous ne recherchons pas l'absence de manipulation monétaire, mais plutôt l'absence de dépréciation de notre monnaie. Cette différence est fondamentale ! En ce sens, il y a bien manipulation monétaire. D'ailleurs si la monnaie était considérée comme neutre au sens monétariste, l?Allemagne ne chercherait pas à tout prix à maintenir un euro fort.
C'est toute la différence avec le Japon, la Chine, les États-Unis qui ont à ce niveau actuellement des politiques plus keynésiennes que notre continent. La manipulation se fait au détriment des pays de la zone euro pour maintenir un euro surévalué qui sert à l'Allemagne notamment mais qui dessert les pays d'Europe du sud.
Par ailleursn, je vous invite donc à lire Keynes et sa théorie générale, afin d'éviter de confondre à l'avenir keynésianisme et mauvaise gestion du budget de l?État. Sauf grave perte de mémoire de ma part, Keynes n'indique à aucun endroit qu'un pays doit privilégier l'embauche de fonctionnaires (si je me trompe merci de m'en préciser la page)... il insiste par contre sur la nécessité en période de crise de pratiquer des politiques de relance afin de soutenir l'activité et de fournir des débouchés aux entreprises, tout en cherchant des solutions pour relancer l'investissement. Il envisage en ce sens effectivement la monnaie comme un outil de relance, dont il aborde les limites dès 1936...
" Où voyez vous en France des diminutions de réglementations, d'impots, de dépenses publiques, de privatisations ?" Exception avec les impôts, la commission européenne (très libérale) n'a fait que de nous imposer depuis 20 ans des privatisations, du laisser-faire économique et surtout favoriser au maximum la libre circulation des marchandises et capitaux dans l'UE. Les dépenses publiques augmentent à cause des dépenses sociales de plus en plus grandissantes car l'activité économique se contracte. " monde n'a jamais été aussi riche, il n'y a jmaais eu si peu de pauvres alors que n'ous n'avons jamais été aussi nombreux", c'est faux, prenez le nombre de personnes sous le seuil de pauvreté en France et vous verrez qu'il augmente chaque année et cela dans tout les pays occidentaux. Les écarts se creusent entre les très riches qui échappent à l'impôt et la majorité de la population qui a de moins en moins pour vivre, les salaires ne suivent pas l'inflation c'est cela la pression salariale, des bas salaires et l'endettement pour soutenir la consommation des ménages. Je ne prone pas le communisme et l'étatisme à tout crain mais une société mixte avec des grands plans industriels dirigé par l'état, ceux-là même qui nous on donné Airbus, Ariane, la SNCF.. bref toute notre richesse industrielle qui fait notre force et qui a été impulsé par l'état et non le privé !!
bob44 a raison, seul le gouvernement Jospin a réduit la dette, effectivement en ratio de PIB, mais cette dette est calculée de la même manière dans les autres pays. Cela signifie donc que la dette a évolué moins vite que le PIB et donc que le poids de la dette a baissé pour un 1euro de PIB.
C'est tout l'intérêt et la limite d'un ratio : comparer des choses comparables. Il ne s'agit pas d'une "spécificité statistique". Maintenant, il est possible de ne regarder que le montant de la dette, mais svp indiquez nous si nous devons le regarder brut ou corrigé de l'inflation.
Détendez-vous. Un gouvernement socialiste a fait mieux que d'autres ce n'est pas grave... le libéralisme n'est pas mort. Admettez juste que pour une fois (une seule si vous le voulez) ils ont fait mieux.
Malheureusement rien ne change !
@john galt
Après une sortie comme celle-là, je comprends mieux pourquoi vous confondez si souvent la France avec l'URSS et Hollande avec un marxiste... Si même les républicains ne vous conviennent pas, je ne sais plus trop dans quel pays vous pouvez partir en vacances ;)