"La véritable question qui sera posée au G20 sera celle de la croissance, d'une nouvelle croissance qui ne soit pas bâtie sur des errements anciens. Dans cette perspective, il faudra notamment favoriser davantage la recherche, réhabiliter l'industrie et s'écarter des mécanismes strictement financiers qui se sont mis à dériver, entraînant toute l'économie. La question des rémunérations et des bonus en est la manifestation la plus symbolique. La France a raison d'engager ce combat, même s'il n'était pas gagné, car il n'est pas envisageable de voir les mêmes acteurs recommencer comme avant, suscitant l'incompréhension de chacun".
Guillaume PEPY, président de la SNCF
banco pas illico
à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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12/20, manque aussi des choses à aborder, comme les depenses de chaque etat européen qui vit au dessus de ses moyens. un budget, ces des recettes, mais aussi des depenses, quand on veut l'equilibrer, faut jouer sur tous les leviers, pas que la croiss...
12/20, manque aussi des choses à aborder, comme les depenses de chaque etat européen qui vit au dessus de ses moyens. un budget, ces des recettes, mais aussi des depenses, quand on veut l'equilibrer, faut jouer sur tous les leviers, pas que la croissance.
highlander
à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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Bravo Monsieur Pepy, l'un des décideurs, Pierre-Yves Levy cite votre entreprise en exemple sur l'achat responsable.
Cela correspond bien à votre volonté de réhabiliter l'industrie.
Continuez et faites le vraimet et faites le savoir, pour que d'au...
Bravo Monsieur Pepy, l'un des décideurs, Pierre-Yves Levy cite votre entreprise en exemple sur l'achat responsable.
Cela correspond bien à votre volonté de réhabiliter l'industrie.
Continuez et faites le vraimet et faites le savoir, pour que d'autres fassent comme vous pour le bien de notre économie qui en a bien besoin. Voilà une communcation positive en temps de crise.
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