Selon le groupe, l'acquisition aura un impact positif sur le bénéfice par action du groupe dès la première année. Summit Energy devrait en effet dégager un chiffre d'affaires de 65 millions de dollars en 2011 (environ 46 millions d'euros). "L'acquisition devrait (...) satisfaire aux critères de rentabilité économique (ROCE) de Schneider Electric en 2014", souligne encore le groupe français. Malgré celà, les investisseurs n'ont pas été convaincus par cette opération d'un montant de 189 millions d'euros. Le titre n'a progressé que de 0,17 %.
"L'acquisition de Summit Energy élargit notre portefeuille de services et de solutions en gestion de l'énergie et offre à nos clients les moyens d'optimiser leur consommation d'énergie, de l'approvisionnement jusqu'à l'utilisation. Elle renforce également notre offre en ligne d'audits énergétiques et environnementaux" indique Chris Curtis, Directeur Général de Schneider Electric pour l'Amérique du Nord.
L'acquisition de Summit Energy, leader des services externalisés pour l'énergie, apporte en effet, selon le communiqué, une plateforme de service de premier ordre orientée clients, reposant sur vingt années de positionnement stratégique réussi en matière d'approvisionnement, de consommation et d'analyse de l'énergie. Mais également une position de leader des solutions d'audit énergétique et de développement durable grâce à une plateforme en ligne (dashboarDView), permettant aux sociétés de maîtriser coûts énergétiques et impact environnemental. En outre, Summit dispose d'une méthode exclusive de gestion du risque des principales matières premières énergétiques mondiales.
« Par cette opération, Summit Energy apporte aux clients de Schneider Electric une offre unique de services », s'est félicité Steve Wilhite, President de Summit Energy
« Quand nous mettrons le pied sur l'accélérateur, nous serons difficiles à égaler » (Joelle Pineau, directrice de la recherche en IA chez Meta)
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