Les contraintes liées à la possession sont ainsi annulées. L'opérateur, qui prend en charge la gestion de votre parc en autopartage, gère l'assurance, l'entretien, la réparation, et la télématique embarquée, qui facilite l'accès aux véhicules pour les collaborateurs. C'est une solution de mobilité parfaitement adaptée aux besoins urbains, pour des trajets de courte durée notamment.
Jean-François Chanal, ALD Automotive :
« Je trouve que cela correspond complètement à des besoins de déplacement de courte durée. À terme, cela peut remplacer le taxi ! »
William Duchange, LeasePlan :
« Beaucoup de véhicules d'entreprises passent les journées en parking. Avec ce système, qui réduit le parc jusqu'à 30 %, cela permet d'optimiser sa flotte. »
Philippe Brendel, Observatoire du véhicule d'entreprise :
« L'auto-partage est une façon différente de consommer la mobilité. C'est parfait pour des petits circuits, même en véhicule électrique. On revient, on charge, c'est très facile ! »
Olivier Jouannic, de l'Agora des responsables de flottes automobiles :
« En entreprise, c'est ce qu'on appelait des véhicules de pool. Or cela fait désormais partie des process externalisés. Il faut penser aux moyens de bien les entretenir, et gérer leur bonne utilisation. »
Damien Feld, Société Générale :
« Cela ne vient pas en concurrence des flottes, et permet de répondre à d'autres besoins de mobilité. Nous voulons aussi développer l'autopartage pour une utilisation personnelle des collaborateurs, en soirée et le week-end. »
Philippe Bismut, Arval :
« Nous pensons que c'est une voie d'avenir. Avec cette pratique, un individu n'investit pas dans une voiture mais peut en avoir l'usage. On touche à une génération. Nous sommes dans une approche expérimentale. »
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