Grèce : un référendum sous la pression de l'asphyxie économique

Le "oui" progresse dans les sondages avant le référendum de dimanche. Une évolution logique au regard de l'accélération de la dégradation économique cette semaine.
Le référendum grec se déroule dans une atmosphère délétère.

Le référendum du dimanche 5 juillet en Grèce sur les propositions des créanciers du 25 juin et leur proposition de soutenabilité de la dette va se tenir dans des conditions désastreuses sur le plan économique. Mais ce vote aura lieu dans une situation bien particulière. Le refus de l'Eurogroupe le 27 juin de prolonger le programme d'un mois, comme le demandait Athènes et la décision de la BCE dimanche 28 juin de ne pas relever le plafond des liquidités d'urgence disponibles pour le secteur financier grec, ont conduit à une asphyxie complète de l'économie. Lundi, le gouvernement grec a décidé de fermer les banques, de limiter les retraits à 60 euros quotidiens par carte et d'imposer un contrôle des capitaux. La Grèce est depuis dans un état d'asphyxie économique.

Un référendum hors standard ?

De nombreux observateurs se sont émus des conditions dans lesquelles ce référendum a été organisé. On a estimé que les huit jours de campagne ont été insuffisants et que les documents sur lesquels les Grecs devaient se prononcer n'étaient pas disponibles. Le Conseil de l'Europe a considéré que ce référendum ne remplissait pas les « standards européens » du vote. Le Conseil d'Etat grec doit se prononcer sur sa constitutionnalité ce vendredi. Mais derrière ces éléments juridiques, on oublie que les créanciers ont fait campagne en Grèce en faveur du « oui » à leurs propositions avec des moyens autrement plus puissants.

Un désastre économique

Le premier moyen est donc l'accès à l'aide à la liquidité d'urgence, le programme ELA de la BCE. Cette dernière n'entend pas provoquer un Grexit. Elle a donc maintenu l'accès à l'ELA sans le couper. Une attitude confirmée mercredi 1er juillet au soir. Mais ce gel est un moyen de pression formidable sur la population. L'asphyxie de l'économie grecque est chaque jour plus évidente. Les entreprises grecques ont été exclues du système électronique de transferts intra-zone euro Target 2. Ceci conduit à une impossibilité quasi-totale d'importer. Des pénuries de nourriture, d'essence et de médicaments ont été signalées, notamment dans les îles. Dans les banques, on commence à manquer de billets pour alimenter les automates. Retirer les 60 euros autorisés devient difficile. Selon le Daily Telegraph, il ne resterait que 500 millions d'euros de liquidités disponibles dans les banques grecques. L'économie grecque s'effondre. Selon Paul Mason, envoyé spécial de Channel 4 en Grèce, le chiffre d'affaires dans le commerce de détail non alimentaire a reculé de 30 % à 50 % en cinq jours.

Pour beaucoup d'électeurs, la question n'est donc pas de voter pour ou contre les propositions, mais pour ou contre le retour à la normale en apaisant la fureur des créanciers et de la BCE. Le « oui » ne peut donc que profiter de cette asphyxie économique organisée.

Des entreprises favorables au « oui »

Dans cette situation, beaucoup d'entreprises font plus ou moins ouvertement campagne pour le « oui » afin d'obtenir ce retour à la normale. Selon la chaîne publique ERT, certains chefs d'entreprises inciteraient ouvertement leurs employés à voter « oui », d'autres feraient dépendre le paiement des salaires ou le maintien des emplois d'un vote positif. Rien d'étonnant à cela : sans rétablissement rapide de la liquidité dans l'économie et de la capacité d'importer, ces entreprises pourraient rapidement disparaître. D'autant que la situation économique du pays était déjà dégradée. Dès lors, l'argument du « non » pour rejeter l'austérité devient naturellement fragile. Mieux vaut sans doute pour beaucoup une nouvelle cure d'austérité à un arrêt total de l'économie.

Des médias privés très engagés pour le « oui »

Le deuxième moyen de pression est plus classique. Les médias grecs privés se sont quasiment tous lancés dans une campagne pour le « oui. » Des statistiques récentes montraient que le temps accordé sur les chaînes privés aux manifestations du « non » le 29 juin était anecdotique : 8 minutes contre 47 minutes pour celle du « oui » le 30 juin. Ces médias sont prêts à toutes les manipulations.

 Le tabloïd Press Star a ainsi utilisé en une jeudi 2 juillet la photo d'un vieil homme portant quelques pains pour illustrer le malheur des retraités grecs. Une photo qui s'est révélé être celle d'un survivant du... tremblement de terre turc de 1999.

L'enjeu défini par les institutions

Un jeu sur la peur que les créanciers n'hésitent pas à utiliser, eux aussi. La BCE a ainsi ouvertement fait du référendum un vote pour ou contre l'euro. Outre son action sur l'ELA, les déclarations mardi 30 juin au matin de Benoît Cœuré, membre français du directoire de la BCE, a mis fin par une simple reconnaissance de la possibilité du Grexit à l'irréversibilité officielle de l'euro. Dès lors, les électeurs grecs, favorables, selon les derniers sondages, à 81 % au maintien dans la zone euro sont prévenus. Le président de l'Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem a abondé dans ce sens, tandis que le président du parlement européen Martin Schulz a promis un nouveau départ pour la Grèce « une fois l'ère Syriza terminée. » Autrement dit, les électeurs sont prévenus : un « non » signifierait le maintien de l'asphyxie économique, la sortie de l'euro et la mise au ban de l'Europe. Le refus des créanciers de poursuivre les négociations comme Alexis Tsipras l'avait proposé a encore augmenté la pression sur les électeurs en leur laissant entendre qu'il ne pourrait pas y avoir de nouvelles négociations en cas de « non. »

Le « non » en position de faiblesse

En face, le camp du « non » a bien peu d'arguments à faire valoir : Alexis Tsipras lundi 29 juin et Yanis Varoufakis jeudi 2 juillet ont mis leur mandat dans la balance. On tente aussi de glorifier le « non » en rappelant le fameux « non » du général Metaxas à l'ambassadeur d'Italie le 28 octobre 1940 qui est devenu une fête nationale en Grèce. Un moyen d'en appeler à la dignité du peuple grec face aux pressions. Mais c'est en réalité bien peu au regard de la situation et l'argument d'une position plus forte pour négocier en cas de « non » perd de la crédibilité face aux conditions matérielles. Même dans le camp gouvernemental, l'unité est mise à mal. Quatre députés des Grecs indépendants ont ainsi choisi de voter « oui » et, selon la presse grecque, la droite de Syriza commence à douter. Le choix des Grecs semble être désormais celui-ci : conserver l'actuel gouvernement élu pour rejeter le système traditionnel de partis clientélistes et se diriger vers le chaos économique ou rétablir la normalité économique en sacrifiant Alexis Tsipras. Nul ne peut blâmer des Grecs déjà lassés par cinq ans de souffrances de faire le second choix. Mais il convient de ne pas oublier que ce choix se fait avec un pistolet sur la tempe dont on entend déjà le cliquetis.

Le oui a le vent en poupe

Et de fait, la stratégie des créanciers fonctionne. Le « oui » a clairement le vent en poupe et progresse. Un sondage réalisé par Alco et publié ce vendredi donne le « oui » gagnat d'une courte tête avec 44,8 % des intentions de vote contre 43,4 % pour le « non » et 11,8 % d'indécis. Un autre, réalisé par l'Université de Macédoine, donne encore le « non » en tête à 43 % contre 42,5 % pour le « oui » et 14,5 % d'indécis. L'écart est donc minime, mais la dégradation économique est si forte que le besoin de retour à la normale va sans doute peser très lourd dimanche. Reste une matière à réflexion pour l'Europe. Comment est-il possible d'appliquer de tels moyens de pression sur un vote dans un pays de l'Union européenne ? Comment justifier que tous les moyens soient bons pour arracher un vote "acceptable" alors que la solution, une renégociation de la dette, est à portée de main ? L'Europe risque de rester durablement marquée par ce précédent.

Commentaires 116
à écrit le 05/07/2015 à 14:50
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Il faut rétablir l'équilibre et redemander à tous les pays, par référendum, s'ils veulent rester dans l'Europe

à écrit le 05/07/2015 à 3:35
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Est-ce un référendum sur l'euro? Y aura-t-il un référendum en France? Ce qu'il faudrait examiner c'est les 6 années de baisse du pib, soit 25% de moins, ce qui est inédit. N'avons-nous pas de mauvaises politiques qu'il faudrait sanctionner? L'euro et...

le 05/07/2015 à 9:06
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Inédite la baisse du PIB grec ? Est-ce étonnant quand on sait que les salaires des fonctionnaires ont été baissés de 40 % et leur nombre fortement diminué ? Il faudrait un jour mettre au point un PIB plus cohérent ! Alfred Sauvy disait que si l'on é...

à écrit le 04/07/2015 à 21:59
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Le chantage du patronat grec ! Les salaires du mois de juin n'ont pas été versés en totalité. Les patrons ont fait savoir à leurs employés que s'ils votaient "oui", il y aurait licenciement !! http://www.greekcrisis.fr/2015/07/Fr0441.html#deb Si...

à écrit le 04/07/2015 à 19:18
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Écrit le 3 Avril dernier à la Commission européenne : "Beaucoup des textes joints ont été adressés à la BCE dont je conteste la politique de Q/E qui ne répond pas à l'insuffisance de la demande, justifiant la frilosité des banques. Ce qui suit est v...

à écrit le 04/07/2015 à 15:38
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Ce qui est dingue c'est qu'en France les épargnants attendent patiemment leur tour et qu'on vienne saisir leurs comptes bancaires et leurs assurances-vie (ah oui c'est vrai on leur a raconter qu'on ne toucherait pas aux comptes de moins de 100 000€.....

à écrit le 04/07/2015 à 13:59
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Je saurai me souvenir et je ferai savoir (surtout auprès des jeunes) ce que l'Europe est capable de faire. Tsipras aura essayé de résoudre un problème qui n'est pas de son fait, et de la manière la plus correcte. Son principal défaut est qu'il est de...

à écrit le 04/07/2015 à 12:36
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quelle va être la note de la France ? après cette faillite !

à écrit le 04/07/2015 à 12:28
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seule l'inflation pouvait sortir l’Europe du sud ... mais les allemands ne l'entendent pas de cette oreille ... question de balance commerciale ! Il faut bien admettre que l'euro a eu pour conséquence de faciliter l...

à écrit le 04/07/2015 à 12:16
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c'est le le hold-up du siècle ! quoi qu'on en dise !!!!!!!!!!!!!!

à écrit le 04/07/2015 à 10:33
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R. Godin, qui se trompe à peu près sur tout depuis des mois, qui affirme que le oui a le vent en poupe... A la place des ouistes je m'inquéterais. ... En tout cas pour les grecs un oui aurait au moins un effet positif, les débarrasser de l'insupport...

à écrit le 04/07/2015 à 10:27
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Les invectives juveniles de Mr Godin ne sont ni nouvelles ni importantes. La Grece sortira de l'euro. Sans doute en Aout avec un Non, et sinon vers Octobre avec le Oui. En termes tres larges, l'euro est une construction bancale voulue par les soci...

le 04/07/2015 à 12:52
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Je pense que ça vaut le coup de reciter un de tes passages pour bien mettre en avant la crédibilité de tes propos : En termes tres larges, l'euro est une construction bancale voulue par les socialistes francais dans les années 70-90 pour controller ...

à écrit le 04/07/2015 à 10:21
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Quel comique ce romaric godin !!! "Une évolution logique au regard de l'accélération de la dégradation économique cette semaine." La dégradation a commencé il y a 5 mois quand tsipras a pris le gouvernail en main, ou plutôt avec ses pieds. Franc...

à écrit le 04/07/2015 à 10:01
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C'est un référendum sous influence néfaste qui ne fait pas appel à la réflexion des Grecs ! mais plutôt à la peur .

à écrit le 04/07/2015 à 9:43
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Je suis assez partagé sur l’impact de tout ça sur l’opinion publique. Autant quand je lis cet article et d’autres sur le comportement parfaitement scandaleux des institutions de l’UE et de notre très cher “personnel” politique, une sainte colère m’a...

à écrit le 04/07/2015 à 9:42
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Bravo pour ce commentaire ! Je suis pour ma part également surpris qu'un journal économique comme la tribune affiche autant de sympathie pour Mr Tsipras et ses rêves de grands soirs anachroniques. Nous devons déjà subir cet endoctrinement sur les on...

le 04/07/2015 à 14:18
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Tsipras, qui n'a jamais été au pouvoir ni son parti auparavant, caricature du clientélisme en Grece, justement parce qu'il a le malheur de bouleverser le clientelisme en Grece ... après tout si ça se tient dans votre tete, pourquoi pas !

à écrit le 04/07/2015 à 9:37
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Je vous donne cette information qui m'avait vraiment fait prendre conscience de la dérive du gouvernement en place il y a quelques mois. "Conformément aux promesses du nouveau gouvernement d’Alexis Tsipras, le parlement grec a voté, dans la nuit de ...

le 04/07/2015 à 14:20
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La fermeture d'ERT avait été jugé anti constitutionelle, c'est pour ça que Tsipras l'a reouverte, ce que tout état de droit se devait de faire. Et le soit disant gouffre financier genait tant Samaras, mais les 800 000 000 d'€ de suventions annuelles...

à écrit le 04/07/2015 à 9:34
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que l'on veuille ou non .... la Grèce est en faillite, et la France se prend une ardoise de 40Md d'euros ... mais nos politiques ont pour souci la disparition des guignols de l'info !

le 04/07/2015 à 10:35
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Que faites-vous de la dette de la France? 2000 milliards d'euros ?!!!

le 04/07/2015 à 12:18
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j'ai bien peur justement, que le prochain candidat soit la France !

à écrit le 04/07/2015 à 9:25
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Imaginez que votre employeur vous laisse le choix entre une baisse de salaire de 30 % et... la porte. Vous demandez à consulter votre conjoint, c'est alors que votre banquier bloque votre compte et que votre propriétaire vous menace d'expulsion en ca...

à écrit le 04/07/2015 à 9:05
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L'UE a mis un pistolet sur la tempe des grecs, mais elle si tire une balle dans le pied.

le 04/07/2015 à 10:16
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C'est plus le gouvernement Grec c'est mis un pistolet sur la tempe et crie si vous me donner pas de l'argent je tire...

à écrit le 04/07/2015 à 9:02
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Voilà la situation. Les Grecs disent "oui", et ils subiront une grave récession, proche de l'état de guerre. Ils vivront sous les fourches caudines des prêteurs, ce qui est la loi générale..Ne choisit pas qui emprunte etc etc. Les Grecs paieront l'i...

le 04/07/2015 à 10:14
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L'autarcie ce sera plutôt l'Albanie d'Enver Hoxha. C'est celle voie-là qui est sans issue. Même l'Argentine qui a tenté de suivre une voie qui tente de tourner le dos au FMI est loin d'être sortie d'affaire près de 15 ans après.

à écrit le 04/07/2015 à 8:54
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Le problème du référendum selon moi, c'est que le non n'est pas suffisamment expliqué. Que va-t-il se passer? Tout un éventail de possibilités vont s'offrir aux Grecs, des outils économique structurellement interdit par l'Euro vont redevenir possible...

à écrit le 04/07/2015 à 8:33
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Du seul point de vue des intérêts des créanciers, le vote des grecs ne devrait pas compter. Ou bien on espère récupérer quelque chose de nos créances, ou bien on n'a rien à espérer et je ne crois pas que cela dépende de l'une ou l'autre réponse du pe...

à écrit le 04/07/2015 à 7:40
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Monsieur Godin a-t-il lu la première page du FT de ce jour? Les banques grecques se prépareraient, pour éviter la faillite, à faire un "haicut " de 30% au delà de €8000 sur les comptes des déposants. Voilà du concret que les grecs apprécieront, et v...

le 04/07/2015 à 9:23
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Les markets makers anglo-saxons produisent de la rumeur soigneusement orientée comme aux grands moments de la crise en 2008. Pas grave.

le 04/07/2015 à 10:37
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ce serait une possibilité, mais la probable issue ce sera une sortie de l'€ associée à une dégringolade de 60 à 70% de la nouvelle monnaie locale. Autrement dit un haircut de fait de 60 à 70% sur tous les comptes, même les plus petits.

le 05/07/2015 à 9:45
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Absolument aucun économiste sérieux n'envisage une decote supérieure a 40%. Et comparer cette dévaluation a un haircut dans des proportions équivalentes est juste ridicule. Ce serait équivalent si l'integralité de l'epargne servait a acheter des pro...

à écrit le 04/07/2015 à 5:51
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On parle de la Grèce qui aurait des problèmes financiers… si on prend le PIB par habitant en $ constant, en courant ça fait bien, hors inflation, puisque l’objectif est de rendre la vie des citoyens plus chère, on prône les hausses de prix qui seraie...

à écrit le 03/07/2015 à 23:34
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Comme toujours je lis toujours avec attention les articles de Mr Romaric Godin. C'est psychologiquement instructif sur une certaine pensée de la gauche de la gauche que nous avons en France et qui s'oppose à la raison des pays Germanique. Il aurait...

le 04/07/2015 à 4:29
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Très bon commentaire, le bon sens et le réalisme qui devient rare en France

à écrit le 03/07/2015 à 23:26
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Bravo pour cet article qui soulève la propagande, dans 1 direction choisie, que "les médias grecs privés se sont quasiment tous lancés dans une campagne pour le oui". On imagine bien que la France est logée à la même enseigne (le journal de 20H étan...

le 04/07/2015 à 10:43
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les medias grecs privés sont des entreprises. Quelle entreprise voudrait d'une situation insaisissable ?

à écrit le 03/07/2015 à 23:14
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UNE SIMPLE QUESTION ; ces agences de notation qui les notes ?

à écrit le 03/07/2015 à 22:47
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Nul ne peut prévoir le résultat du référendum qui se tiendra en Grèce le 5 juillet prochain. Les électeurs grecs sont soumis à une pression tant économique que médiatique sans précédents pour les convaincre de voter « oui ». Les exemples ici abondent...

le 04/07/2015 à 15:50
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Bravo Sapir pour ce commentaire! En vous lisant, on se demande comment 75% des grecs veulent rester dans l'eurozone. Cela s'appelle du masochisme.

à écrit le 03/07/2015 à 22:46
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C'est quand le diktat des banquiers et Bruxelles interfère directement dans le choix démocratique d'un peuple.… Avec ou sans OUI, après le vote grec l'UE marchera inexorablement vers sa fin, et rapidement.

à écrit le 03/07/2015 à 21:53
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L'Europe officiellement et ouvertement contre la démocratie : quel cadeau fait aux eurosceptiques !

à écrit le 03/07/2015 à 17:19
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M. Romaric fait son job journalistique avec de fines analyses. Mon avis tres subjectif sur son travail le long de se son suivi de la crise grec dont nous verrons bientôt la fin de l'acte 1 suit. Mon observation est qu'il a une forme de solidarite ave...

à écrit le 03/07/2015 à 15:59
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Résumons - Sur le fond : La création de tout empire ou zone importante veut que certaines se développent et d'autres s'appauvrissent. Le mouvement européïste revient à cela. ne soyons donc pas naïfs. Aux USA parmi 50 états la Californie représente pl...

à écrit le 03/07/2015 à 15:31
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246 professeurs d'économies grecs publient un appel au oui, avertissant sur les conséquences d'un non. http://www.ekathimerini.com/198826/article/ekathimerini/news/declaration-of-professors-of-economics-at-greek-universities-on-the-referendum

le 03/07/2015 à 22:47
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Dites-nous, et si le peuple grec vote NON, vous allez perdre combien d'argent ?

le 04/07/2015 à 0:24
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Des professeurs d'économie, c'est à dire des fonctionnaires grassement payés qui n'ont jamais mis le pied dans une entreprise, qui appellent à voter Oui. Voilà un superbe argument pour le Non. The No needs the Yes to win against the Yes :)

le 04/07/2015 à 9:32
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"Des professeurs d'économie, c'est à dire des fonctionnaires grassement payés qui n'ont jamais mis le pied dans une entreprise" Vous parlez de Varoufakis ? Ah non c'est vrai, il a bossé quelques mois chez un éditeur de jeu pour etudier le commerce...

le 04/07/2015 à 13:56
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Voilà! vous avez éveillé un point de grande importance car si au lieu de faire le blâme aux Grecs on s'interrogeait sur le bien-fondé ou pas de nos gouvernement avoir autorisé depuis 2001 les crédits (à risques) à la Grèce? retournons la question à n...

à écrit le 03/07/2015 à 15:30
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Résumons - Sur la forme : 1/ Que le référendum produise un Oui ou un Non ne changera rien. Passons sur les problèmes d'abstention et autres contestations de légitimité. 2/ La Grèce ne peut pas techniquement sortir de l'euro, c'est donc un moyen d'acc...

le 04/07/2015 à 10:49
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Si tutelle étrangère il devait y avoir, une direction allemande ou mieux, néerlandaise ou mieux encore, balte, s'imposerait.

à écrit le 03/07/2015 à 15:19
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Merci pour votre analyse, comme d'habitude très fournie Contrairement aux commentaires, je ne désapprouve pas votre ton parfois "compatissant" pour Syriza, car j'aurais aimé que Syriza nettoie la politique Grecque. Malheureusement, Syriza ne l'a pa...

le 03/07/2015 à 16:23
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Vison realiste !! Ca change de ce Mr Godin qui doit être un proche de Arlette laguillet LOL

le 04/07/2015 à 9:03
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@Fosco Ce n est pas parce qu on ne trouve que de la feta et des olives dans les supermarches francais, que la Grece ne produit que cela. Et la Norvege, elle ne produit que du saumon ? En passant, savez-vous que la Grece fabrique bien plus de medicam...

à écrit le 03/07/2015 à 15:19
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Merci pour votre analyse, comme d'habitude très fournie Contrairement aux commentaires, je ne désapprouve pas votre ton parfois "compatissant" pour Syriza, car j'aurais aimé que Syriza nettoie la politique Grecque. Malheureusement, Syriza ne l'a pa...

à écrit le 03/07/2015 à 15:09
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moi je trouve que ça permet aux grecs de voter en conscience, car si ils disent non, ce sera direction la sortie et ça sera bien pire pour eux que la semaine écoulée...Tsipras joue super mal, il n'est pas responsable de l 'état du pays, il pouvait do...

le 04/07/2015 à 10:54
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C'est depuis son arrivée que Tsipras joue super mal. Quand on est à la tête d'un pays aussi endetté, on 'insulte pas ses créanciers, surtout lorsque ce sont les seuls prêteurs possibles pour le futur.

à écrit le 03/07/2015 à 14:10
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ROMARIC GODIN ne s'intéresse même plus à la question posée... TSIPRAS a dit, MELANCHON a dit, PODEMOS a dit et GODIN pravdave. Si l'année prochaine le verbe "GODINER" (vendre la sauce d'extrême gauche par tous moyens) ne rentre pas au beschrelle,...

à écrit le 03/07/2015 à 13:47
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M Godin ..je vous cite et vous pose ensuite ma question.. relisez vous bien .. Un référendum hors standard ? De nombreux observateurs se sont émus des conditions dans lesquelles ce référendum a été organisé. On a estimé que les huit jours de ca...

le 03/07/2015 à 15:26
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+1000 ;)

à écrit le 03/07/2015 à 13:18
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Le recours à la peur et à l'intimidation était l'arme du régime fasciste. L'union européenne a fait tomber le masque et montrer sa véritable nature. Grecques et Grzcs tenez bon face à la troïka, terme employé sous le régime soviétique pour faire rent...

le 03/07/2015 à 14:28
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On ne sort pas si facilement des griffes de l'EURSS !

le 03/07/2015 à 15:10
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Schutz avoue clairement que c'est la troïka qui décide pour les peuples des régimes politiques qu'ils doivent avoir, si certains en doutaient l'UE est devenu un régime fasciste.

à écrit le 03/07/2015 à 13:12
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Le non est loin d'être acquis, hier au soir la visibilité médiatique en faveur du oui était plus de 6 fois supérieure au non et comme chacun sait, c'est elle qui construit le résultat, cf CHOMSKY, "la fabrication du consentement "... Il n'y aura aucu...

à écrit le 03/07/2015 à 13:10
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Le désastre économique concerne tous les pays d'Europe. Avec l'Euro nous avons fait un formidable bond en arrière. On peut raisonnablement penser que le pire est à venir. La Grèce est le pays le plus touché.

le 04/07/2015 à 10:33
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L'Euro a été construit pour fédérer les pays de l'Union.Cette fédération existe pour ceux qui respectent règlent il y a des pays prospères en Europe. On peut tolérer l'exception mais pas le refus (qui signifie de fait une sortie de l'Euro à terme, c...

le 04/07/2015 à 11:00
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On peut d'ailleurs se demander si la Grèce, une fois ses esprits repris, ne devrait pas traduire en justice ses actuels dirigeants pour le sabordage économique du pays qu'ils ont méthodiquement effectué.

le 05/07/2015 à 9:47
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Je parierai plutot sur la mise en examen des gouvernements précédents, si j'en vois la tendance actuelle ...

à écrit le 03/07/2015 à 12:34
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Certes, les institutions financières sont déchainées pour faire voter "oui", mais la faute n'en revient-elle pas, disons à parts égales, au gouvernement grec qui a déposé cette mine à la dernière minute et s'est fourré lui-même dans un chausse-trapp...

à écrit le 03/07/2015 à 12:31
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On peut être consterne par le manque d'esprit de resistance, voir de patriotisme de la part de la population grecque. Il n'est pas etonnant, dans ces conditions, que certains grecs par esprit de patriotisme, votent Aube Doree ou KKE par reference au ...

à écrit le 03/07/2015 à 12:13
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Que de mauvaise fois !! Meme Mélenchon je me demande si il dirait Ca Vous oubliez les 18 démocratie qui financent la grece depuis 10 ans Vous oubliez que l ELA c'est de l'argent qui dort de nos poches et que tsipras dit qu'il ne remboursera jamai...

à écrit le 03/07/2015 à 12:03
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La réalité est un "moyen de pression" ? Duh!

le 03/07/2015 à 12:41
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Ce n'est qu'un petit aperçu Si c'est non et la sortir de l'euro Ca va tanguer 10000 fois plus Et tsipras qui osait dire que les retraites étaient garantie

le 03/07/2015 à 15:16
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L'économie grecque est déjà en train de s'effondrer, vous savez, l'économie, ce truc abstrait qui garnit les étagères des magasins et les citernes des stations-service : http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/11715198/greece-crisis-live-no-yes...

à écrit le 03/07/2015 à 11:47
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Si les Grecs loupent cette occasion , ils vont le regretter longtemps car point de porte sortie avec l'Euros, simplement que les banquiers qui y trouvent leurs comptes .

à écrit le 03/07/2015 à 11:47
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Halte là Godin ! "le refus de prolonger...", on ne peut pas non plus prolonger sans cesse !!! La question qui est posée aux Grecs est: voulez-vous de l'austérité. Dans n'importe quel pays, les gens vont majoritairement répondre NON. Tsipras et ses co...

à écrit le 03/07/2015 à 11:46
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Mr Godin vous devriez avoir honte . Quid de la déontologie ?

le 03/07/2015 à 16:14
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Malheureusement, elle ne s'applique pas au commentateurs, la déontologie ... Nombre de vous auriez été exclus depuis bien longtemps. C'est quoi cette attitude, vous êtes maîtresse d’école ? Ou alors Mr Godin appuie la ou ça fait mal ?

à écrit le 03/07/2015 à 11:45
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Honte à l'euro groupe pour ses méthodes de bandit . Mais savent-ils encore ce qu'est la honte? Ces gens de droite qui sont les premiers à parler de valeurs à respecter,surtout celle de les laisser abuser des autres, sont les derniers à appliquer ce ...

le 03/07/2015 à 12:11
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Et le fait de vivre au crochet des autres ? Perso: je veux bien payer pour la France car c'est un retour a ceux que j'ai pu bénéficier ..... Et encore ça commence a me casser des pieds car il devient plus intéressant dans certaines situations que d'...

à écrit le 03/07/2015 à 11:44
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euh, Godin a du rater un épisode c'est le gouvernement grec qui a choisi de demander un référendum APRES l'expiration des mécanismes d'aide existant. Le gouvernement Tsipras savait parfaitement que faute d'accord le 30 au plus tard, celui-ci expir...

le 03/07/2015 à 13:08
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Tiens, rien qu'en lisant le commentaire, je m'attendais a ce que ce soit vous l'auteur ... Pour votre information, Varoufakis n'a jamais affirmé ce que vous lui faites dire a la fin de votre post, mais bon la désinformation est un classique chez vous...

le 03/07/2015 à 16:17
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Encore une fausse info signée KidA : le referendum a été annonce Samedi Soir, le programme s'est arrêté Lundi ... Continue, KidA, tu vas battre le record !

à écrit le 03/07/2015 à 11:41
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Romain, On peut comprendre votre prise de position pour le plus faible tout au long de vos articles. Cependant, c'est tout la crédibilité des mouvements "alternatifs" en Europe qui est en train de s'effriter par déni de réalité. Qui n' pas rembou...

à écrit le 03/07/2015 à 11:30
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L'UE a su acheter l'attachement des grecs a l'Europe a coup de milliard, ils ont été droguer a l'euro, comment voulez vous qu'ils puisent penser autrement? Et cela est l'exemple type! Tout les pays sont sous tutelle comme des adolescents attardés! E...

le 03/07/2015 à 12:44
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drogué a l'Euro? non ils ont surtout le souvenir de ce que ca voulait dire pour leur portefeuille une Drachme avec des taux d'inflation a deux chiffres.

à écrit le 03/07/2015 à 11:29
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athenes n'a pas demande un plan d'aide, au contrire ils ont juste explique qu'ils voulaient juste 30 milliards pour les 2 ans a venir, en expliquant la bouche en coeur qu'ils n'allaient rembourser ni les dettes passees, ni celle la donc, vu qu'on al...

à écrit le 03/07/2015 à 11:29
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36 milliards de plus pour 11 millions d'habitants ça fait 3 272 € pour chaque Grec c'est presqu'une année de RMI pour un Français et une année de pension pour des retraités portugais ou polonais .Sans oublier que ça ne règle aucun problème .On va do...

le 03/07/2015 à 12:26
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Oui c'est absurde, pourtant c'est bien la volonté des creanciers. Parce que c'est votre argent qu'ils prêtent, et parce que ce sont eux qui empochent les intérêts. Garder la Grece en situation de quasi faillite n'est peut être pas bénéfique pour vous...

le 03/07/2015 à 15:06
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@Dimitri: et pour qui donc? vous faites donc aprti de ceux qui ignorent que les banques privees non grecques ne detiennent PLUS de dette grecque? Les seuls et uniques interets qui sont a payer sont: au FMI, à la BCE (qui reverse a la Grece les be...

à écrit le 03/07/2015 à 11:28
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1 chose qui s'oublie de plus en plus : Un oui serait la mise en place d'une politique que tous les partis grecs refusent (Samaras avait refusé certains élements du plan proposé au referendum) Un oui serait le retour a des politiques voulues par l'Eur...

le 03/07/2015 à 15:09
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"seul parti qui n'est pas touché par la corruption" --- a votre place je me méfierais de ce genre d'affirmation péremptoire. Petit exemple: C'est bien ce gouvernemen qui vient de signer un contract d'un demi milliard d'euro avec Lockheed, contrat ...

à écrit le 03/07/2015 à 11:28
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Oui ou non, ça ne changera rien , la dette ne sera jamais payée et les grecs malgré les réformes ne pourront pas honorer les intérêts. Cette situation arrivera en France lorsque les taux vont remonter. Avec nos 2100 milliards d'euros de dettes, nos...

à écrit le 03/07/2015 à 11:27
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A présent, les Grecs savent ce qu'ils ont a gagner ou à perdre sans l'Europe. Il leur appartient désormais de choisir. Il ne leur est de toute façon plus possible de vivre à crédit sur le dos des autres européens, sans volonté farouche de réformer le...

à écrit le 03/07/2015 à 11:23
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Assez jouissif de voir un théoricien gauchiste découvrir la réalité économique. Alors soyons clairs: sont-ce les grands vilains créanciers qui coupent les vivres aux pauvres Grecs pour les forcer à voter oui ? Non ! Qui a envoyé valser la table des n...

le 03/07/2015 à 12:00
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Tres bonne analyse Beber. On voit bien que l auteur de l artcle est du cote du non. Il oublie seulement deux choses: - C est bien Tsipras qui a voulu ce référendum qui coûte 100 millions d euros a la Grece (6,5% de ce qu il doit au FMI une bagatelle...

le 03/07/2015 à 16:23
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@Rachid : 1. le budget alloue pour le referendum est d'un peu plus de 5 millions, pas 100 ! 2. Avez-vous vu le pourcentage sur les chaines privées : 80 % du temps consacré a la promotion du OUI (et pour certaines chaines comme Skai, c'est du non-s...

à écrit le 03/07/2015 à 11:20
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On vit un coup d Etat en direct, sans tanks mais par les banques. C est le debut de la fin de l Union Europeenne, mais personne ne s en rend compte... encore. Tic tac tic tac...

à écrit le 03/07/2015 à 11:14
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M. Godin "L'Europe risque de rester durablement marquée par ce précédent." Humm la mémoire est courte chez les citoyens. Seuls les plus impliqués se souviennent encore du référendum de 2005 et la mascarade pour le faire passer par un congrès. Ils so...

à écrit le 03/07/2015 à 11:14
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Très perspicace conclusion. Comment ne pas déplorer la situation ailleurs avec une raison d'Etat supplantant la démocratie ? Depuis au moins 2007/2008, on patauge dans les torrents de liquidités déversés, puis à pomper. Alors, ça va durer encore.

à écrit le 03/07/2015 à 11:05
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2/je ne suis pas sûre qu'on puisse accorder un quelconque crédit aux sondages, aux dernières élections ils avaient grandement sous estime Syriza. Je pense que les sondages, comme la presse sont manipulés . Grande discussion hier soir avec 1 jeune ent...

le 03/07/2015 à 11:59
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J'espère pour ma part que les Grecs voteront NAI, mais je suis d'accord avec vous que ces sondages ne valent rien. Ce référendum est sans précédent, et l'avance du oui est faible, certainement bien inférieur à la marge d'erreur. Je suis donc surpris ...

le 03/07/2015 à 13:15
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@Francoise, une connaissance grec me disait même que beaucoup de touristes sur place, français et belges notamment, invitaient les grecs à voter NON!

à écrit le 03/07/2015 à 11:03
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La pression exercée sur les grecs n'est que la réponse au chantage tenté par le gouvernement Tsipras. Celui-ci voulait forcer la main aux européens par la mencace de choas sur les marchés financiers en cas de scénario de Grexit. Chantage clairement d...

le 03/07/2015 à 13:09
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10€ pour toi et tout le monde!

à écrit le 03/07/2015 à 11:01
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Je vis en Crête .pour le moment, ici, pas de pénurie d'argent, ni de rien d'ailleurs . Très fort sentiment anti allemand . Pas de mobilisation visible des partisans du oui . Militants Syriza très actifs . Suis scandalisée par les propos des dirigeant...

le 03/07/2015 à 11:34
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Si tout va bien ,pourquoi vouloir des prêts d'argent supplémentaires ?? Dans la rue et que vous passez devant une personne sans donner la pièce elle vous insulte et a une très forte hostilité ,on a l'habitude

le 03/07/2015 à 12:28
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Yoyo, Cette personne a-t-elle dit que tout allait bien ? Non, elle a seulement indiqué son avis sur cette situations. Pour votre gouverne, la Crête a une économie légèrement différente que celle de la métropole, ensuite les grecs ne placent pas toute...

le 03/07/2015 à 13:07
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@Francoise, merci pour ce témoignage. La Crète et la Grèce aussi peut produire tout ses besoins de premières nécessités. Plus le temps passera dans cette situation et plus elle se stabilisera. Les grecs ont été pris de court, mais ils ont le potentia...

à écrit le 03/07/2015 à 10:59
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Et a la fin le plus fort gagne ... auquel j'ajouterais, et le plus faible paye. Tant pis pour nous, on payera, encore une fois ...

à écrit le 03/07/2015 à 10:54
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Lol! Jeu de tartufe. Les grecques pourraient très bien s'en sortir, mais je pense qu'un certain nombre de banquiers sont décidés à étrangler leur économie, juste pour l'exemple. Ce que l'article présente comme inexorable est faux. Les organisateurs d...

le 03/07/2015 à 11:47
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Il faudra l'expliquer combien de fois: les banques privées non grecques ne detiennent plus ou presque de créances sur la dette grecque. Les seules parties exposées sont les citoyens Européens (et le monde emergent dans une moindre me sure via le FMI...

le 03/07/2015 à 12:40
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Vous manquez de logique, mon enfant. Math vous dit que les banquiers veulent asphyxier la grece, et vous lui répondez que c'est faux, puisque qu'il ne détiennent plus de dette grecque. Votre affirmation ne contredit en rien la sienne, et meme bien au...

le 03/07/2015 à 15:11
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@@KidA: commencez par mettre un pseudo pour qu'on vous réponde. Et comment les banques feraient pour asphyxier qui que ce soit si elles n'ont plus d'en cours financier comme moyen e pression? En attente des gesticalutaions qui serviront de réponse...

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