Vraisemblablement, ils seront plus nombreux à chasser la bonne affaire. Selon un sondage BVA pour Les Echos, deux Français sur trois (66%) ont bien l'intention de profiter des soldes d'hivers. Cette proportion apparaît plus importante que l'an passé, où 61% affichaient leur souhaitait faire les magasins à cette période, contre 67% en 2011. Sachant que les soldes débutent ce mercredi, pour une durée de cinq semaines.
Mieux, le taux moyen de dépense envisagé pour ces achats au mois de janvier s'affiche au plus haut depuis trois ans, à 234 euros. Sachant qu'il était de 221 euros au même moment l'année dernière. Dans le détail, 23% des Français prévoient de dépenser plus de 300 euros lors de cette session de soldes, tandis que 28% ont une enveloppe comprise entre 200 et 299 euros, 33% entre 100 et 199 euros et 10% ont moins de 100 euros. Ainsi, "janvier 2013 devrait être un très bon millésime en termes de montants de dépenses pour ces soldes", indique BVA, qui a interrogé les 7 et 8 janvier par téléphone et internet 1.230 personnes âgées de plus de 15 ans.
67% des Français affichent leur attachement aux soldes
Pour cette édition, les Français ont l'intention de se tourner davantage vers internet. Pour 7% d'entre eux, il va même s'agir du seul vecteur de shopping, contre 5% en janvier 2012. En outre, 29% des personnes interrogées comptent combiner magasins et internet (24% il y a un an). Poru BVA, "si ces intentions se confirment bien - ce qui a toujours été le cas les années précédentes -, toute la difficulté sera de savoir si ce succès annoncé des soldes d'hiver consacre une bonne ou une mauvaise nouvelle pour notre économie".
Enfin d'après ce sondage, quelque 67% des Français ont marqué leur attachement aux soldes d'hiver et d'été. Ils considèrent qu'il s'agit des "périodes privilégiées pour faire de bonnes affaires". Par ailleurs, les hommes sont de plus en plus nombreux (58%) à participer aux soldes. Même s'ils restent moins nombreux que les femmes (66%).
« Quand nous mettrons le pied sur l'accélérateur, nous serons difficiles à égaler » (Joelle Pineau, directrice de la recherche en IA chez Meta)
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