Selon Jean-Michel Bérard, PDG d'Esker, les solutions de dématérialisation se divisent en 2 types : la relation client et la relation fournisseur. Dans le premier cas, l'accent est mis sur la gestion des commandes. Pour la relation fournisseur, il est important de maîtriser les factures. Ces procédés sont l'Order to Cash et le Procure to Pay. L'idée générale est simple : exit le papier au profit des documents au format numérique. À ce stade, les logiciels sont d'une aide précieuse pour extraire et saisir de manière automatique les informations. La visibilité ainsi que les gains de productivité sont importants. Les avantages sont donc de plusieurs ordres. La question de la perte des documents ne se pose plus. En ce qui concerne le Cloud, les technologies mises en œuvre sont diverses et complexes : stockage d'informations, logiciels de reconnaissance optique, intelligence artificielle, mobilité...
Malgré la mise en place du Règlement général sur la protection des données, les principaux problèmes ne sont pas résolus. Il s'agit d'une règlementation que les Européens s'imposent à eux-mêmes tout en ignorant comment l'appliquer aux Américains. Le RGPD se présente donc comme un frein. Pour se démarquer de ses concurrents, Esker mise sur son originalité. Par exemple, la firme utilise les solutions Cloud depuis plusieurs années. Elle dispose à cet effet d'une certaine expérience. Esker est aussi un précurseur en ce qui concerne l'intelligence artificielle. Celle-ci permet d'utiliser la reconnaissance faciale sur les documents. Ainsi, il est possible de distinguer une facture d'un bon de commande et une note de frais d'une note d'essence. De plus, Esker gère tous les types de médias.
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