>> VOIR notre dossier « Cinq ans après la COP21 »
L'engouement pour les obligations vertes connaît un essor sans précédent : le marché mondial des titres émis pour financer des projets liés à l'environnement n'a cessé de croître, de 10 milliards de dollars en 2013 à 200 milliards l'an dernier. Et parmi les émetteurs, les collectivités locales sont de plus en plus nombreuses. La Ville de Paris a ainsi émis sa première obligation verte à la veille de la Cop21, suivie récemment par deux autres opérations. « Nous sommes à un total de 230 millions d'euros d'encours pour ces trois émissions sur une dette totale de 6,5 milliards d'euros », a indiqué Paul Simondon, adjoint à la Mairie de Paris chargé des finances, du budget et de la finance verte. L'outil garantit aux investisseurs « que les projets financés grâce à ces obligations remplissent un certain nombre de critères en termes d'impact environnemental et de solidarité. Nous leur devons ensuite un reporting sur ces projets », précise-t-il.
Quatrième émettrice d'obligations vertes au niveau mondial, la Société du Grand Paris (SGP) a quant à elle fait le choix de financer exclusivement par ces instruments la construction du nouveau métro automatique, qui devrait éviter l'émission de « 25 à 51 millions de tonnes de CO2 à horizon 2070 », d'après Vincent Gaillard, directeur des finances de La Société du Grand Paris. La SGP a levé...
Pas étonnant, suffit de laisser parler les politiciens pour qu'avant même de commencer ils pensent à arrêter.
Vu la tête de filou qu'il a le gars hein... -_-